Mobilisation générale contre la pédomaçonnerie

dimanche 14 juillet 2013

Comment régler un litige avec l'Etat sourd-oreille ? @JeromeVigliano



Une méthode originale (et décapante) pour régler ses litiges avec l'Etat quand on est un journaliste harcelé...

(Publiée le 27 mai 2013 )



"Comment Résoudre Un Problème de Violation Des Textes Légaux par la République Française ?" @JeromeVigliano


Une belle leçon de journalisme pratique... 




Son histoire...
 
Pignon sur Rue from Thomas Olland on Vimeo.
"Jerôme Vigliano est un ancien animateur radio (à l'image de MFM). Après de nombreux licenciements, et une insuffisance financière pour subvenir aux loyers parisiens, il décide alors de lancer un mouvement de "résistance" et d'exposer sa vie et son histoire sur les lieux publics .
Ce documentaire vise, en exposant ce changement radical de vie, à témoigner de la difficulté à se loger et à vivre à Paris et plus particulièrement à dresser un portrait de ce personnage plus qu'atypique dont le seuil demeure Rue de chantilly dans le 9ème."

Retrouvez Jérôme Vigliano: 
Site web : http://jeromevigliano.com/
Sur Facebook : https://www.facebook.com/ResistanceRuedeChantilly


Appel à l'aide





Message de Jerome  le 14/07 vers vers 19h30
 
Je viens de me faire a nouveau menacer de mort plusieurs fois, et agresser. La police est la. Mon mur a de nouveau ete vandalise egalement. Il est 19h16. Devant témoins. La police ne l'embarque pas. Il m'insulte devant les flics et me menace de mort, la police ne lembarque pas. 19h18.

Message de Jerome  le 14/07 vers vers 20h30

Je remercie tous les gens qui m'ont vu me faire agresser chez moi par le même fou que le 6 janvier et qui sont tous rentrés chez eux sans témoigner.

Appeler la police ça ne suffit pas. C'est les témoignages qui sont importants. La police est repartie.

Et je suis menacé de mort.  Il revient ce soir, a-t-il dit entre autres.
Je suis au commissariat pour déposer plante pour menaces de mort et agression.
Message de Jerome  le  15 juillet 2013, 0h26.

Plainte nominale déposée au commissariat ce soir, contre la même personne m'ayant déjà menacé de mort en janvier, pour - encore - menaces de mort, dégradations, violences et insultes (ce dernier chef d'accusation n'étant pas répréhensible, comme je le disais cet après-midi...). Tu as le droit de dire "Nique ta mère", "J'encule ton frère", "Rentre dans ton pays", comme m'a dit mon agresseur, ça n'est pas répréhensible par la loi.

Tout ça s'est passé devant trois policiers et des témoins.

Qui ont également pu constater et entendre les menaces de mort réitérées. Et m'ont vu rester sur le perron de mon logement, impassible et ne menaçant pas mon agresseur, à part de prison ferme, pendant qu'il m'envoyait des plaques en bois de deux mètres de long à la gueule.

A un cm, mon agresseur est venu m'aboyer dans la tête chez moi, et me menacer de mort ("Je reviens ce soir et je te déssoude"). Une femme a tenté de l'en dissuader.

J'avais promis de me laisser tuer et de ne pas répliquer. J'ai tenu parole. Est-ce que je vais prendre 5 mois avec sursis (comme le cocaïnomane de janvier a pris aussi), cette fois ? Pour être resté sur mon perron et avoir attendu que ce taré me foute sur la gueule ?

Ca vaut combien ça en justice ? Se faire menacer de mort et insulter devant trois policiers, pour ça on prend combien ?

Est-ce qu'il va falloir que je me fasse assassiner pour que quelqu'un se réveille ?
  
Message de Jerome le 14/07 vers 10h
A tout ceux qui me font foncer vers la fin et aux autres.

En 2008, étant allé récupérer des affaires dans une radio m'ayant licencié parce que je refusais de signer des contrats antidatés, je me suis retrouvé interpellé par la police et placé en garde à vue. Je n'ai opposé aucune résistance. Je n'ai insulté personne. Je pleurais, menotté sur le siège arrière de la voiture, tête baissée, muet, interpellé sans raison légale et donc en violation de la Loi.

A ce moment-là, un des trois policiers s'est retourné et m'a dit "Toi, t'es un connard". Les deux autres ont été professionnels.

Dans le rapport de police, il est pourtant écrit que j'ai insulté un policier et que je me suis rebellé. Mon appartement a été perquisitionné.

J'ai été condamné en 2009 sans être convoqué au tribunal, sans avoir le droit d'être défendu par un avocat. 4 mois de sursis. Je l'ai appris cette année puisque la notification du jugement ne m'a pas non plus été envoyée, sauf erreur.

Depuis des années, il semble que ce supérieur hiérarchique instable psychologiquement fasse courir le même bruit sur moi : je l'aurais menacé par arme à feu ! C'est faux bien entendu.

Le 6 janvier 2013, j'ai failli me faire tuer par deux cocaïnomanes alcoolisés, à coup de barre de fer et de coups de pied dans la figure. Je me suis défendu à coups de poing pour sauver ma vie. Devant des dizaines de personnes témoins dans le quartier.

L'après-midi, trois autres hystériques dégénérés m'ont menacé de mort devant témoin et m'ont dit "Tu as touché à la famille, tu es mort".

Trois personnes ont témoigné sous serment que j'avais frappé un homme au petit doigt et que je les avais traité de "sale Arabe". Un voisin a témoigné que tout ça était rigoureusement faux.

J'ai vu un expert-psychiatre en janvier, qui m'a déclaré sain d'esprit et non-violent.

J'ai vu un expert-psychologue en juillet, qui a émis la même conclusion.

Malgré tout ceci, j'ai été condamné le 12 juillet 2013 à 5 mois de prison avec sursis et mise à l'épreuve de deux ans. A l'image des mes agresseurs. Et "grâce" aux accusations mensongères d'un ex-supérieur hiérarchique dans mon travail puis le rapport de police mensonger d'un policier assermenté en 2008, m'ayant valu un casier judiciaire.

Mon avocate me conseille de ne pas faire appel, dans la mesure où je pourrais faire de la prison ferme.

Et de ne pas déposer plainte pour dénonciation calomnieuse contre les trois fous-furieux qui m'ont accusé d'avoir frappé à coup de marteau.

Je n'ai ni agressé ni frappé personne.

Je vais donc faire appel et je vais déposer plainte contre les menteurs qui m'accusent. (...)