Opération « Je dépose mes poubelles devant les banques », le 1er Septembre
«Qui contrôle l'accès à la nourriture contrôle le peuple ; qui contrôle l'énergie peut contrôler des continents entiers; qui contrôle l'argent peut contrôler le monde » Henry Kissinger, 1973.
Aujourd’hui, nous avons tous conscience du pouvoir tyrannique qu’exerce la finance internationale sur les États et les populations. La décision de l'Union Européenne (vive la démocratie !) de prélever 45,7% des comptes épargne chypriotes de plus de 100 000 euros en est la triste illustration. Plutôt que de remettre en question cette finance spéculative qui entraîne la mauvaise santé économique des États, la solution, aux yeux de l'oligarchie financière, est donc de taxer l'honnête citoyen (en vue de renflouer les banques, elles mêmes à l'origine de la crise financière, cherchez l'erreur…)
Nous ne sommes plus dupes de leurs « solutions », parce que nous défendons la souveraineté du peuple et des nations et pour exprimer notre mécontentement, donnons-nous rdv le 1er septembre 2013 pour déposer nos poubelles devant les banques. Parce que des milliers de « j'aime » sur une page facebook ne dérangent en rien les « banksters », il est temps de se mobiliser dans la vie réelle pour prouver que nous sommes déterminer, de manière pacifique, à amorcer un changement.
*A priori à Paris cette action se fera devant la Société Générale où Bruno Boulefkhad siège depuis 2 ans déjà pour dénoncer les abus bancaires
Source: "Opération « Je dépose mes poubelles devant les banques », le 1er Septembre" (Lalo Aug 19, 2013 12:15 pm) Agenda, banksters, Banques, Bruno Boulefkhad, Finance Internationale, Kissinger, oligarchie financière, poubelles, Troïka, union européenne
Rendons à Rothschild, la part de la dette qui lui revient : faîtes les comptes…
C’est sous la présidence de
l’ex-Directeur de la banque Rothschild, Georges Pompidou, que la loi du 3
janvier 1973 dite loi « Pompidou-Giscard-Mesmer« (73-7) ou encore
appelée « loi Rothschild », fût votée. Elle est directement
responsable du service de la dette (plus de 45 milliards € par an pour
les seuls intérêts) et conséquemment de cette situation proche du chaos.
Michel Rocard lui même, déclarait(*) fin décembre 2012 sur Europe1 que
sans cette loi notre dette serait à un niveau « bénin » (« 16 ou 17 % du
PIB »).
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