False flag in Paris January 7th 2015 - Amazing : the police officer who dodges bullets #CharlieHedbo #Paris |
Attentat à Charlie Hebdo: Des images troublantes
Ce qui est suspect c'est que non seulement, le policier ne présente aucun saignement après s'être pris plusieurs balles mais même après s'être pris une balle à bout portant avec une arme de guerre automatique (fusil d'assaut ~ 7.62 mm) , on ne voit ni impact, ni sang !!?
(NB : cette vidéo est censurée massivement: merci d'uploader) -
lien alternatif : https://www.youtube.com/watch?v=yJEvlKKm6og
Effet d'une balle d'arme à bout portant - au ralenti
Source: "Attentat à Charlie Hebdo: Des images troublantes" (noreply@blogger.com (Guy Fawkes) Jan 07, 2015 01:10 pm)
Le mystère reste entier et les questions demeurent :
- Pourquoi le pseudo-djihadiste tire-t-il sur le policier avec une cartouche à blanc ?
- Pourquoi avaient-ils prévus des cartouches à blanc dans leur chargeur ?
- Pourquoi, ce policier ne se relève-t-il pas ?
- Ou si ce policier est décédé.... Alors, de quoi est-il mort ?
Selon Aldo Giannuli,
"Il est fort possible que cet attentat soit l'œuvre d'individus d'une toute autre importance… C'est très louche."
Les éléments qui le portent à penser cela ? Des papiers d'identité « oubliés » dans la voiture, à la durée importante de la fuite des terroristes, en passant par la protection très réduite de la rédaction de l'hebdomadaire satirique et les armes que possèdent les auteurs de l'attentat.
Aldo Giannuli, expert des services secrets italiens, n'est
pas convaincu par la version officielle.
La
durée de leur fuite, des terroristes trop calmes, le manque de
protection de la rédaction de l'hebdomadaire satirique, les armes des
terroristes… Aldo Giannuli, expert des services secrets italiens, n'est
pas convaincu par la version officielle.
Lors de cette funeste journée du 7 janvier 2014, date marquée à jamais comme synonyme de la mort de 12 personnes lors de l'attentat terroriste contre Charlie Hebdo, l'hypothèse d'un complot faisait déjà son chemin.
Et aujourd'hui, ce n'est ni plus ni moins qu'Aldo Giannuli, experts des services secrets italiens, qui publie un article sur le blog de Beppe Grillo.
Lors de cette funeste journée du 7 janvier 2014, date marquée à jamais comme synonyme de la mort de 12 personnes lors de l'attentat terroriste contre Charlie Hebdo, l'hypothèse d'un complot faisait déjà son chemin.
Et aujourd'hui, ce n'est ni plus ni moins qu'Aldo Giannuli, experts des services secrets italiens, qui publie un article sur le blog de Beppe Grillo.
Selon lui, « cette affaire sent le cramé »...
Comme dans la plupart des grandes affaires (Kennedy, l'attentat de piazza Fontana, Olof Palme, le 11-Septembre, la mort d'Oussama Ben Laden, etc.), quelque chose cloche, et de nombreuses interrogations s'imposent. Comment est-il possible qu'un objectif aussi sensible que la rédaction de Charlie Hebdo ait été si peu protégé ? Où les auteurs de l'attentat se sont-ils procurés ces armes ? Ils les ont ramenées de Syrie ? Mais le plus important, c'est ceci : avez-vous déjà vu des terroristes qui vont commettre un attentat en prenant soin d'emmener leur pièce d'identité, et qui l'oublient ensuite dans la voiture ?
Comme dans la plupart des grandes affaires (Kennedy, l'attentat de piazza Fontana, Olof Palme, le 11-Septembre, la mort d'Oussama Ben Laden, etc.), quelque chose cloche, et de nombreuses interrogations s'imposent. Comment est-il possible qu'un objectif aussi sensible que la rédaction de Charlie Hebdo ait été si peu protégé ? Où les auteurs de l'attentat se sont-ils procurés ces armes ? Ils les ont ramenées de Syrie ? Mais le plus important, c'est ceci : avez-vous déjà vu des terroristes qui vont commettre un attentat en prenant soin d'emmener leur pièce d'identité, et qui l'oublient ensuite dans la voiture ?
Des doutes auxquels s'ajoutent les suivants :
On n'a jamais vu ça : des terroristes qui passent à l'action et perdent autant de temps durant leur fuite, après avoir participé à deux affrontements à l'arme à feu, contre une voiture de police notamment. Ils ramassent une chaussure puis oublient un gant.
Et comment se fait-il qu'aucun blocage routier n'ait été mis en place dans la zone ? En plein centre de Paris, il doit y avoir de très nombreuses voitures de police. Et Paris est loin d'être une ville où la circulation est fluide (...)
Aldo Giannulo
Source: "Aldo Giannuli, expert des services secrets italiens, sur Charlie Hebdo..." (Paul Jan 08, 2015 09:27 pm)
Au fait, pourquoi ramasse-t-il une chaussure de basket alors qu'il n'en porte pas !??
Si vous repassez la vidéo vous observerez que l'espace pour le preneur
d'image est restreint. Mais une chance que la voiture se soit arrêtée
pile au niveau de la chaussure... |
Attentat contre Charlie Hebdo : 9 (autres) points étranges
1 - Après le passeport indestructible du 11 septembre, l'un des deux suspects, Saïd Kouachi, a oublié, malencontreusement, sa carte d'identité dans la voiture.
2- Lors de la tuerie, entre 3 et 5 tireurs ont été aperçus:
3 - La piste israélienne : 2- Lors de la tuerie, entre 3 et 5 tireurs ont été aperçus:
A - JSS News semble très bien informé. Ne citant pas leurs sources, ils auraient été les premiers à publier l'identité des terroristes:
Rappelons que JSSNews a déjà publié deux informations exclusives et vérifiées ces dernières heures. La première concernant l'identité des terroristes (Saïd et Cherif Kouachi et Hamyd Mourad) et la deuxième concernant la voiture des terroristes, retrouvée devant un restaurant casher à Paris.
Plus tôt, ce soir, Libération titrait: « les trois suspects interpelés » - le titre a été changé par « les trois suspects identifiés et localisés.
Jonathan Simon Selem de JSS News est un proche de la LDJ présent en France (La LDJ est classée comme "organisation terroriste" aux USA) |
Toujours selon JSS News, les premiers médias à diffuser la vidéo du policier abattu auraient été ceux d'Israël:
Meyer Habib membre du CRIF et de la franc-maçonnerie du Bnai Brith est également l'ami de Benjamin Netanyahou et un proche de JSS News |
"Le fait que l’identité des membres de ce commando ait été donnée par une chaîne israélienne jette un peu plus le trouble sur cette affaire. " (AlterInfo)
6 - Un temps d'attente anormalement long entre la tuerie et l'arrivée des secours:
7 - Moins d'une heure après l'attaque, Hollande se rend, sans aucune peur, sur le lieu du drame:
8 - Un commissaire de police de Limoges qui travaillait sur l'affaire Charlie Hebdo se suicide mystérieusement dans son bureau:
9 - Des soi-disant « terroristes » ressemblant plus à la police antiterroriste qu'à autre chose:
Deux personnes qui ont croisés la route des frères Kouachi témoignent ce matin du 9 janvier
D'abord l'homme qui s'est fait volé sa voiture ce matin dans l'Oise, sur RTL. "Ils étaient en tenues paramilitaires et avec leurs armes à la main, très calmes, très sereins, très professionnels, pas énervés. Ils ont jamais couru ni élevé la voix. Ils n'étaient pas transpirants. Ils donnaient l'impression d'être en opération",explique le conducteur de la clio grise vraisemblablement attaquée par les frères Kouachi vendredi matin. "La simple chose qu'il m'ont dite en partant : "si les médias te posent une question, tu n'as qu'à dire que c'est Al Qaïda Yémen". C'est la dernière chose qu'il m'ont dite."
Puis, sur France info, un commercial qui était dans la zone artisanale de Dammartin et qui a d'abord cru avoir affaire à un policier : "Je ne les ai pas reconnus formellement, ils étaient habillés comme des policiers d'intervention, tenue noire, gilet pare-balles et fusil. Ça aurait pu être un policier s'il ne m'avait pas dit 'on ne tue pas les civils'. Ils étaient lourdement armés, comme des policiers qui interviennent avec des fusils type kalach. J'étais devant la porte de l'entreprise, j'ai serré la main de Michel [un client, NDLR] et de l'un des terroristes. Il m'a dit 'je suis la police. Partez, on ne tue pas les civils'. Après je suis parti, et Michel a fermé le portail derrière moi. Je suis parti dans la foulée"
Source: "Attentat contre Charlie Hebdo : 9 points étranges" (wikistrike.com Jan 09, 2015 02:31 pm)
Fusillade à #CharlieHebdo
"C'est bon pour Israël" (BHL) |
Selon le général Ivashov,
"Il est probable que les agents de sécurité d'Israël y soient impliqués."
« L'attaque
terroriste, menée en France, est l'œuvre de mercenaires, recrutés par
les Etats-Unis ou Israël, dont l'objectif est de détruire l'image de
l'Islam » a estimé le général Ivachov, vice-Président de l'Académie des
questions géopolitiques.
« Aucun vrai Musulman ne se livre à de tels actes », a-t-il précisé. « Les vrais Musulmans ne sont pas à l'origine de tels actes, ce sont plutôt d'autres forces. Éventuellement, Israël et les États-Unis sont dernière cet acte », a-t-il indiqué.
Et Ivachov de poursuivre : « Actuellement, nous assistons à une guerre des civilisations. Ce qui se déroule, depuis les États-Unis vers le Moyen-Orient et en Afrique du Nord, est une tentative d'anéantir la civilisation islamique. Tout comme ce qui se passe, actuellement, en Ukraine, l'objectif reste le même. En effet, l'incident, survenu à Paris, n'est pas la guerre des Musulmans contre l'Islam. (...)
« Il est bien évident que l'Islam n'est pas derrière cet incident. Cet incident est, fort probablement, une opération organisée par les États-Unis, pour porter atteinte à la culture et à l'image de l'Islam, dans le but de soulever la nation européenne contre l'Islam. Ils font, ainsi, d'une pierre deux coups. Il est probable que les agents de sécurité d'Israël y soient impliqués.
Commentaire : Pour finir, un commentaire de Résistance 71 :
« Nous relayons cette opinion car elle émane du général Leonid Ivashov qui fut le chef d'état major de l'armée russe au moment des attentats du 11 Septembre 2001. Ivashov a toujours dit que ces attentats émanaient de l'intérieur du complexe militaro-industriel des États-Unis, il a participé à bon nombre de conférences pour la paix, dont la conférence Axis for Peace à Bruxelles en 2005 et il est un de ceux qui en savent beaucoup sur pas mal de choses. Il est toujours bon d'écouter et de noter ce qu'il dit... »
« Aucun vrai Musulman ne se livre à de tels actes », a-t-il précisé. « Les vrais Musulmans ne sont pas à l'origine de tels actes, ce sont plutôt d'autres forces. Éventuellement, Israël et les États-Unis sont dernière cet acte », a-t-il indiqué.
Et Ivachov de poursuivre : « Actuellement, nous assistons à une guerre des civilisations. Ce qui se déroule, depuis les États-Unis vers le Moyen-Orient et en Afrique du Nord, est une tentative d'anéantir la civilisation islamique. Tout comme ce qui se passe, actuellement, en Ukraine, l'objectif reste le même. En effet, l'incident, survenu à Paris, n'est pas la guerre des Musulmans contre l'Islam. (...)
« Il est bien évident que l'Islam n'est pas derrière cet incident. Cet incident est, fort probablement, une opération organisée par les États-Unis, pour porter atteinte à la culture et à l'image de l'Islam, dans le but de soulever la nation européenne contre l'Islam. Ils font, ainsi, d'une pierre deux coups. Il est probable que les agents de sécurité d'Israël y soient impliqués.
Commentaire : Pour finir, un commentaire de Résistance 71 :
« Nous relayons cette opinion car elle émane du général Leonid Ivashov qui fut le chef d'état major de l'armée russe au moment des attentats du 11 Septembre 2001. Ivashov a toujours dit que ces attentats émanaient de l'intérieur du complexe militaro-industriel des États-Unis, il a participé à bon nombre de conférences pour la paix, dont la conférence Axis for Peace à Bruxelles en 2005 et il est un de ceux qui en savent beaucoup sur pas mal de choses. Il est toujours bon d'écouter et de noter ce qu'il dit... »
Source : "Leonid Ivachov : l'attentat de Charlie Hebdo est l'œuvre de mercenaires recrutés par les États-Unis ou Israël" (Paul Jan 09, 2015 09:36 am)
Source2: "Selon le général Ivashov, l'attentat Charlie Hebdo est l'œuvre de mercenaires recrutés par les États-Unis ou Israël" (wikistrike.com Jan 09, 2015 09:30 am)
Selon Tony Cartalucci,
L’attaque aurait été menée par des professionnels de type « Gladio »
L'attaque de Paris ressemble à une attaque menée par le réseau Gladio de l’OTAN contre les populations européennes dans le but insidieux de manipuler la perception de l’opinion publique aussi bien que le paysage politique local.
La complicité française dans l’armement des militants en Syrie spécialement, est depuis longtemps un sujet de discorde et de craintes pour certains critiques qui ont averti depuis des années des risques de retournement des djihadistes contre la France. Il est inhabituel que la France ou l’un de ses partenaires du vaste réseau d’états sponsorisant la terreur globale, n’ait pas anticipé un tel retournement dramatique et ait été incapable de prévenir une telle attaque si elle le désirait.
Financés par les états-unis, entraînés au Royaume-Uni et maintenus sous la forme de groupes paramilitaires extrémistes à travers l’Europe durant la Guerre Froide, les réseaux « Stay Behind » de l’OTAN ont supposément été créés afin de pouvoir être activés dans le cas d’une invasion soviétique de l’Europe de l’Ouest. Au lieu de cela, ils ont été utilisés pour mener des attaques sous fausse bannière, tuant et mutilant des centaines d’européens au moyen d’atrocités attribuées à l’Union Soviétique et à ses sympathisants locaux.
Les attentats et les assassinats ont été utilisés par l’OTAN pour manipuler l’opinion publique et offrir un soutien aux groupes politiques opérant sous l’influence de l’OTAN.
De la même manière, Al-Qaïda et ses franchises, dont la plus récente et la plus connue est ISIS, sont utilisées simultanément comme une menace intérieure contre certains pays et un corps expéditionnaire de mercenaires.
En effet, d’un côté le président Hollande condamne les attentas à Paris, alors que de l’autre il continue à appeler à l’armement et au soutien opérationnel du réseau terroriste dont est issue cette même attaque, afin de poursuivre la campagne de terreur et de violence en Syrie.
Indépendamment de toute enquête et de ses conclusions, le fait que l’OTAN ait organisé de telles attaques par le passé contre les peuples mêmes qu’elle prétend protéger fait de l’organisation et des leaders politiques à la tête de ses états membres, les principaux suspects, à la fois incapables de mener une enquête impartiale sur l’attaque récente et incapables d’en empêcher une nouvelle, comme si ces dernières étaient conçues non pas par des forces situées à l’extérieur des frontières européennes, mais par des ennemis intérieurs extraordinairement dangereux.
Tony Cartalucci pour Landdestroyer
Traduction Guillaume Borel pour les moutons enragés
Source: "L'attaque terroriste contre Charlie Hebdo porte la marque des réseaux Gladio " (wikistrike.com Jan 08, 2015 07:23 pm)
selon Mokri (leader du MSP),
«Le Mossad est derrière l'attentat contre Charlie Hebdo»
Selon lui,
l’implication des services secrets israéliens dans les événements du
11-Septembre, les divergences politiques fondamentales qui persistent en
Europe et aux Etats-Unis au sujet de l’avenir d’Israël et de sa
politique, l’émergence d’un mouvement de sympathie pour la cause
palestinienne dans les pays européens, et enfin la position de la France
dans la reconnaissance de l’Etat palestinien au niveau du Conseil de
sécurité de l’ONU sont, d’après l’analyse du leader islamiste algérien,
autant de facteurs qui confortent cette hypothèse. Car selon Mokri, «le
but recherché à travers cette attaque est finalement de monter l’opinion
occidentale contre les musulmans».
source
Il est entré en négociations exclusives (juste au moment de l'affaire #CharlieHebdo) avec le belge Rik de Nof, propriétaire du groupe L’Express-Roularta, pour la cessation de son pôle News et Culture. Pour une somme qui ne devrait pas dépasser les 10 millions d’euros, passent donc entre les mains de Patrick Drahi les titres L’Express, L’Expansion, mais aussi Lire, Studio Ciné Live, Mieux vivre votre argent, Classica, Pianiste Studio Ciné Live ainsi que le site L’Entreprise et l’organisation de salons de recrutement Jon Rencontres et le portail Distrijobs.
En association avec Marc Laufer (groupe NewsCo, propriétaire, entre
autres, de 01net), Patrick Drahi avance donc à grands pas dans la
constitution d’un gigantesque groupe de presse. Avec Libération, recapitalisé cet été, et i24News, le groupe devrait donc comprendre les acquisitions du groupe L’Express ainsi que Radio Nova, que Patrick Drahi verrait bien tomber dans son escarcelle.
En 2014, le milliardaire israélien a acquis le statut de grand patron après l’acquisition de SFR. Avec l’acquisition en moins d’un an du principal quotidien de gauche, d’un des principaux hebdomadaire et de la chaîne d’info en continue israélienne, Patrick Drahi pèse désormais de tout son poids dans l’économie, les médias et le débat public en France.
Les idiots utiles méritent-ils leur sort ?
Après Libération et i24News, Patrick Drahi rachète L’Express et rejoint le club des magnats des médias en France.
Ce 8 janvier, le pro-sioniste israélien Drahi rachète L’Express, L’Expansion, mais aussi Lire, Studio Ciné Live, Mieux vivre votre argent, Classica, Pianiste Studio Ciné Live
Il est entré en négociations exclusives (juste au moment de l'affaire #CharlieHebdo) avec le belge Rik de Nof, propriétaire du groupe L’Express-Roularta, pour la cessation de son pôle News et Culture. Pour une somme qui ne devrait pas dépasser les 10 millions d’euros, passent donc entre les mains de Patrick Drahi les titres L’Express, L’Expansion, mais aussi Lire, Studio Ciné Live, Mieux vivre votre argent, Classica, Pianiste Studio Ciné Live ainsi que le site L’Entreprise et l’organisation de salons de recrutement Jon Rencontres et le portail Distrijobs.
Patrick Drahi |
En 2014, le milliardaire israélien a acquis le statut de grand patron après l’acquisition de SFR. Avec l’acquisition en moins d’un an du principal quotidien de gauche, d’un des principaux hebdomadaire et de la chaîne d’info en continue israélienne, Patrick Drahi pèse désormais de tout son poids dans l’économie, les médias et le débat public en France.
Liberté d'expression pour tous !
"PARIS SIEGE FALSE FLAG: Analyzing The Cop Shooting Footage"
En conclusion
Complément d'enquête (Panamza) [08.02.2015]
INFO PANAMZA. Découvrez comment -et pourquoi- les premières images 08e l'attentat de Charlie Hebdo ont été délibérément altérées.
Vingt minutes seulement après le départ des hommes responsables de l'attaque de Charlie Hebdo, la chaîne I-Télé diffusait déjà les premières images -confuses et saccadées- de l'évènement.
À 11h47, le vidéaste à l'origine de ces images -capturées depuis le toit de l'immeuble- avait posté ce tweet :
Journaliste de l'agence Premières Lignes, Martin Boudot apparaît curieusement (vers 0'33) dans la vidéo qu'il aurait pourtant lui-même filmé -aux alentours de 11h40.
Sollicité ensuite par CNN et BFM TV au sujet de son scoop, Boudot a tenu une étrange déclaration sur l'antenne de RMC. Lors de son entretien (réalisé -en direct- le lendemain matin) avec Jean-Jacques Bourdin, le jeune homme, issu de la promotion 2008 de l'École publique de journalisme de Tours, a ainsi affirmé incidemment (à 11'50) qu'"on connaissait bien le responsable de la maintenance" qui fut abattu -en premier- par les terroristes.
Problème : l'homme en question -dénommé Frédéric Boisseau et salarié de Sodexo- effectuait là son premier jour dans l'immeuble dans lequel se côtoyaient, depuis l'été dernier, les équipes de Charlie Hebdo et de Premières Lignes.
Détail troublant : le patron de Boudot a exprimé la même contre-vérité, à deux reprises. Interviewé en fin de soirée sur CNN puis le lendemain par une chaîne canadienne, Paul Moreira -fondateur de l'agence dirigée aujourd'hui par son collègue Luc Hermann (tous deux dans l'image ci-dessus)- a également prétendu bien connaître -et même "apprécier"- Frédéric Boisseau dont il dit l'avoir croisé "chaque matin".
Boudot et Moreira auraient-ils pu confondre Boisseau avec un autre technicien? Peu probable : le nom et le visage de la première victime des terroristes étaient connus dès le soir de l'attentat, soit plusieurs heures avant leurs déclarations respectives et factuellement impossibles.
Une vidéo retouchée
Quoi qu'il en soit de la motivation des propos affabulatoires tenus par le tandem Boudot-Moreira, une chose est certaine : tout le monde a vu, partiellement ou intégralement, les images du jeune homme, reprises et diffusées par l'ensemble des chaînes de télévision -dès le mercredi 7 janvier, à midi.
Voici un extrait plus long, monté par la rédaction de France 24.
La plate-forme Dailymotion du groupe France Télévisions a également mis en ligne la vidéo amateur de Martin Boudot.
Même réactivité au sein du groupe TF1: à 13h24, LCI diffusait ces images, également commentées, dans le même temps, par Jean-Pierre Pernaut. Le JT de 20h n'a pas manqué de les diffuser, à l'instar de son concurrent France 2. Dans le journal télévisé de David Pujadas, le journaliste Franck Génauzeau, en charge du sujet, a prononcé ainsi (à 10'15) ce commentaire au sujet de la séquence affichée ci-dessous : "Il y a deux hommes sur cette image".
C'est faux.
En réalité, il y en a quatre : deux terroristes (au milieu de la rue) et, visibles juste au-dessus, deux inconnus -debouts sur une terrasse.
La palme de l'entourloupe revient ici à BFM TV : lors de son entretien avec Martin Boudot, la chaîne (dont la vedette Ruth Elkrief fut la première à interviewer Jeannette Bougrab dans son nouveau rôle -problématique- de veuve éplorée de Charb) n'a pas hésité à diffuser des images cerclées des terroristes. Conséquence : les deux inconnus, déjà réduits à deux points noirs vaguement mobiles, ne risquaient plus ainsi de susciter l'éventuelle attention du téléspectateur.
La présence de ces hommes (également visibles, plus nettement, à gauche de l'image ci-dessous) avait déjà été soulignée par Panamza dans une enquête publiée le 22 janvier.
L'un d'entre eux serait un ouvrier polonais responsable d'une autre vidéo "amateur", obtenue par l'agence Reuters et diffusée le 13 janvier par la plupart des médias télévisés.
Aujourd'hui, il est possible d'affirmer que l'activité et l'identité de ce vidéaste -présent lors de ce moment crucial- ont été délibérément occultées par la presse traditionnelle.
Le samedi 31 janvier, un média américain, dénommé Vice News, a mis en ligne une interview du caricaturiste Luz. Ce membre de l'équipe rescapée de Charlie Hebdo y donnait son sentiment sur les conséquences de l'attentat pour l'avenir du journal.
À 2'42, une séquence visuelle de l'entretien saute aux yeux : on y découvre la qualité inédite d'un extrait de la vidéo de Martin Boudot.
Le contraste est saisissant : depuis le 7 janvier, les images filmées par Boudot et diffusées par l'ensemble des chaînes (y compris étrangères, comme CNN et Sky News) semblaient -au regard de leur aspect flou- avoir été capturées avec un ancien téléphone portable.
En réalité, il n'en était rien : le document obtenu par la correspondante parisienne de Vice News révèle, pour la première fois, un format visuel digne des smartphones modernes.
D'où cette question : pourquoi les chaînes de télévision ont-elle diffusé une version dégradée du document -pourtant historique- de Boudot?
Plus précisément : hormis la qualité esthétique, quelle différence fondamentale y-a-t-il entre la version bas-de-gamme, diffusée par tous les grands médias télévisés depuis le 7 janvier, et la version haut-de-gamme, uniquement relayée par un web-magazine US relativement confidentiel en France?
Réponse : la visibilité d'une anomalie. En l'occurrence : l'image intriguante de cet homme debout dont on apprendra, une semaine plus tard, qu'il s'agissait d'un ouvrier polonais en train de filmer -en toute décontraction- deux terroristes tirant sur des policiers, juste en dessous de lui.
Dans les images diffusées par TF1 et ses homologues, ce vidéaste était un point noir vaguement mobile. Dans la vidéo de Vice News, il apparaît davantage grâce à la qualité de cette version du film.
Pourquoi avoir caché l'existence de cet individu? Après tout, il s'agissait là d'un témoin direct de la fuite des terroristes. Son propre récit, accompagné des images qu'il a lui-même capturées et qui seront finalement relayées (six jours plus tard) par Reuters, aurait suscité, en temps normal, le vif intérêt de la corporation journalistique hexagonale.
Étrangement, tel ne fut pas le cas.
Reste à savoir qui est à l'origine de cette altération volontaire de la vidéo : le journaliste Martin Boudot, son agence de presse (Premières Lignes), les chaînes récipiendaires du document ou un mystérieux intermédiaire ? Un fait est acquis : s'il n'existe évidemment pas de "main invisible" capable de commander secrètement tous les organes de la presse écrite et audiovisuelle, une influence contraignante et passée sous silence s'exerce néanmoins dans la plupart des redactions importantes. Elle provient de la DGSE, bastion du contre-espionnage français.
D'après des journalistes du Canard enchaîné et du Point à l'origine d'une brillante enquête intitulée L'espion du Président (parue en janvier 2012), des agents secrets sont bel et bien installés -sous couverture- dans les médias de masse afin de pouvoir orienter -en amont- la réalisation de tel reportage sensible ou de censurer -en aval- la diffusion de telle information jugée compromettante pour la sécurité nationale.
La DGSE est-elle alors responsable du brouillage de la vidéo de Boudot? Et, si oui, pourquoi?
Coïncidence : son directeur actuel, dénommé Bernard Bajolet, a perdu son ancien garde du corps dans l'attentat de Charlie Hebdo. Franck Brinsolaro, chargé de la protection de Charb, avait également assuré celle de Bajolet lorsque celui-ci était ambassadeur de France en Afghanistan. Détail à souligner : Bajolet, dont le mandat expire l'an prochain, est actuellement en conflit avec ses adjoints. Parmi ces derniers, un personnalité proche du Conseil représentatif des institutions juives de France : Christophe Bigot, ex-ambassadeur de France en Israël, admirateur du purificateur ethnique David Ben Gourion et nouveau directeur de la stratégie au sein de la DGSE.
À la recherche de Janek
Quant à l'homme quasi-flouté dans la vidéo de Boudot, il s'est évaporé dans la nature après avoir remis ses propres images à Reuters.
Sollicités par Panamza, ses employeurs ont éludé la question de l'identité précise de cet individu censé être un ouvrier polonais, présent ce jour-là sur un chantier de travail – en l'occurrence, le toit d'un petit immeuble situé juste en face du 10, rue Nicolas Appert.
Le premier interrogé à ce sujet fut David Dahan, patron de la compagnie initialement en charge des travaux. Juste après avoir entamé notre échange en ayant mentionné le prénom -"Janek"- de cet ouvrier, la communication téléphonique s'est brutalement interrompue. Rappel effectué, Dahan me fit simplement savoir -sans davantage d'explication- ne plus être impliqué dans ce chantier et me proposa de me mettre en relation avec "monsieur Geoffroy", propriétaire du bâtiment. Aussitôt contacté, ce dernier s'avéra, à l'inverse, particulièrement volubile : son discours, rôdé au mot près, consista sommairement à m'exprimer son indignation à propos de Janek, "renvoyé manu militari" du chantier pour avoir vendu une vidéo capturée depuis le chantier sur lequel il était censé travailler. Les deux hommes ne seraient plus en contact.
J'ai voulu en savoir plus sur l'individu qui donna à Janek l'accès au toit de son bâtiment. Contrairement à ce que laisserait penser la formule employée par Dahan, son nom de famille n'est pas "Geoffroy". Il s'agit de son prénom.
En consultant et en recoupant les archives en ligne de la Ville de Paris, j'ai ainsi découvert que l'homme en question -qui n'a pas exactement le profil-type du propriétaire parisien lambda- se nomme Sciard. Geoffroy Sciard.
Co-fondateur d'un hôtel chic et gay-friendly du IIIème arrondissement de Paris, ce pimpant quadragénaire, autrefois "responsable de développement d'une association humanitaire" et gérant d'une agence immobilière située près des locaux de Charlie Hebdo, est le fils d'Alain Sciard, ancien capitaine de vaisseau (notamment le sous-marin L'Africaine) devenu co-dirigeant, de 1967 aux années 80, du CNEXO (un établissement public dévolu à l'étude stratégique des mers). Aux côtés de Claude Riffaud, ex-responsable du Service Action de la SDECE (ancêtre de la DGSE), il était notamment affecté à la question de l'armement maritime. Particularité du retraité-bricoleur et ex-militaire Alain Sciard, restée inexpliquée à ce jour : durant les années 1983-1986, il avait été mis sur écoute par l'Élysée.
Son fils, Geoffroy, se distingue aujourd'hui sur un autre plan : celui de ses liens singuliers avec le puissant clan Dassault.
En décembre 2013, Geoffroy Sciard a ainsi vendu un éminent domaine viticole dont il était co-propriétaire avec son frère Thibaut : le Château Faurie de Souchard. L'heureux acquéreur : le viticulteur d'à côté, dénommé Laurent Dassault.
Depuis 1955, les familles Sciard et Dassault possèdent, exactement l'une face à l'autre, des vastes terrains viticoles à Saint-Émilion. Geoffroy Sciard a géré le domaine familial de 2006 à janvier 2014 avant de le céder à Laurent Dassault, lui-même à la tête du Château Dassault depuis 1994.
Quatre mois après la transaction opérée entre les frères Sciard et Laurent Dassault, cadeau-bonus : l'entrée du groupe Dassault (à hauteur de 15%) dans le capital de la société de gestion fondée et co-dirigée par Thibaut Sciard. Proximité renforcée : le patron de la Financière Dassault, dénommé Olivier Costa de Beauregard et désormais co-actionnaire de Delta-AM, est également celui qui a pris les rênes -au nom de Laurent Dassault- du domaine viticole qui avait appartenu aux Sciard.
La spécificité de Laurent Dassault, fils du sénateur UMP Serge Dassault et dirigeant d'Artcurial (première maison française de vente aux enchères) mais également vice-président d'un groupe familial richissime (sixième fortune de France) et partenaire de la DGSE?
Sa connexion étroite avec le complexe militaro-industriel israélien.
Proche de plusieurs personnages influents de la mouvance sioniste hexagonale (notamment David, Benjamin et Éric de Rothschild ainsi que Patrick Drahi, patron de la chaîne israélienne i24news) et longtemps soutien financier de Nicolas Sarkozy, Laurent Dassault cultive, outre des liens familiaux en Israël, des relations intimes avec de redoutables affairistes locaux (parmi lesquels Stef Wertheimer) et de nombreuses figures de la classe dirigeante de Tel Aviv, notamment à la droite de la droite.
L'homme est ainsi administrateur d'un fonds d'investissement dirigé par Edouard Cukierman (par ailleurs porte-parole de l'armée israélienne), aux côtés -entre autres- de Roger Cukierman (président du Crif) et de Yair Shamir. Membre d'un parti israélien ultra-nationaliste, ce dernier, fils de l'ancien Premier ministre et agent du Mossad Yitzhak Shamir, a récemment démissionné du gouvernement Netanyahou en raison d'un scandale de corruption impliquant des responsables de son groupe. La revue Intelligence Online présente cet ex-militaire haut-gradé comme le "lobbyiste israélien de Dassault en Israël". Détail cocasse: son parti d'extrême droite, présidé par le ministre des Affaires étrangères Avigdor Liberman, s'est récemment distingué en faisant la promotion de Charlie Hebdo dans les rues de Tel Aviv.
En novembre, Laurent Dassault avait co-organisé, en compagnie de Gilles-William Goldnadel et Claude Goasguen, une cérémonie en hommage au général Pierre de Bénouville, un homme célébré par la nébuleuse sioniste pour avoir transgressé l'embargo -décrété en 1967 par de Gaulle- de toute vente d'armes à destination d'Israël.
Nulle surprise à cela : en 2008, le quotidien israélien Haaretz avait consacré un portrait au promoteur zélé de Bénouville. D'après la journaliste Ora Coren, Laurent Dassault "se voit lui-même dans la continuité" de son aïeul, Marcel Dassault, qui, "lors de la naissance de l'Etat, arma Israël avec ses premiers avions".
Résumons : à l'origine de la vidéo -étrangement filmée sans crainte d'être atteint par une balle- dans laquelle l'un des assaillants de Charlie Hebdo (bientôt partis en direction d'un local parisien utilisé par l'armée israélienne) déclame -l'index gauche en direction du ciel- avoir "vengé le Prophète", un mystérieux Polonais anonyme, flouté par les médias télévisés et évaporé aujourd'hui dans la nature, était employé par une connaissance commerciale et familiale -de longue date- de Laurent Dassault, multimillionnaire ultra-sioniste connecté à la branche militaire et radicale du régime de Tel Aviv. Et tandis que la chaîne israélienne i24news fut la première au monde à "révéler" la double nationalité franco-algérienne des auteurs désignés de l'attentat, le Premier ministre Benyamin Netanyahou n'a pas tardé à exploiter politiquement un évènement "terroriste et islamiste" dont il avait lui-même annoncé, le 7 août dernier, les contours et l'imminence.
Concours de circonstances ou pièces peu à peu rassemblées d'un puzzle complexe ?
Dans tous les cas, l'histoire de Janek évoque irrésistiblement celle d'un autre ouvrier immigré : le Tchèque Pavel Hlava.
En compagnie de son employeur Mike Cohen (tous deux dans l'image ci-dessus), l'homme avait affirmé avoir filmé accidentellement (comme les frères Naudet, aujourd'hui documentaristes officieux pour le compte de la Maison Blanche) les deux crashs des avions dans le World Trade Center, ce 11 septembre 2001. À l'instar de Geoffroy Sciard, Cohen aurait reproché ultérieurement à son ouvrier -également évaporé depuis dans la nature- d'avoir vendu ses images aux médias.
À ce jour, une seule chose est certaine : la terrasse au rebords blancs depuis laquelle Janek avait capturé sa vidéo a disparu.
Panamza s'est procuré des images -capturées le 24 janvier- de l'état du chantier entamé l'été dernier et visiblement terminé.
Surprise, surprise : l'installation qui a permis de filmer confortablement le départ tonitruant des terroristes -ainsi capturé sous le meilleur angle- n'est plus.
Ce qui semblait constituer une terrasse a finalement laissé place à un toit gris et dorénavant hermétique.
HICHAM HAMZA
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Complément d'info : le dossier Charlie Hebdo de PANAMZA
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"Les juges parisiens Laurence Le Vert, Nathalie Poux et Christophe Tessier, avaient été moins curieux et n’avaient pas donné de suite aux renseignements d’Europol sur les armes des terroristes qui attaquèrent Charlie Hebdo.
Les magistrats lillois Stanislas Sandraps et Richard Foltzer, se sont vus opposer le Secret-Défense par le ministre français de l’Intérieur, Bernard Cazeneuve, lorsqu’ils ont cherché à savoir comment le terroriste Amedy Coulibaly avait pu acheter à la société Seth Outdoor de Claude Hermant deux fusil d’assaut VZ 58 Compact, de marque CZ (Kalachnikov) (numéro de série 63622F et 21038 M), et quatre pistolets semi-automatiques Tokarev TT33 (numéros de série RK07, O2027, TE1035 et EB1574).
La Voix du Nord, Le Greffier noir et Médiapart ont longuement étudié les liens entre Amedy Coulibaly et Claude Hermant, un survivaliste lié à la Gendarmerie nationale [1].
Sur le même sujet :
« Selon McClatchy, Mohammed Mehra et les frères Kouachi seraient liés aux services secrets français », Réseau Voltaire, 9 janvier 2015.
« Des éléments de l’affaire Coulibaly rappellent le rôle de services français en 1999 », par Thierry Meyssan, Alexis Kropotkine, Le Greffier noir, Réseau Voltaire, 27 mai 2015."
[1] - « Affaire Hermant : quand l’indic veut sortir de l’ombre », Patrick Seghi, Benjamin Duthoit et Claire Lefebvre, La Voix du Nord, 12 août 2015.
« Attentats de Paris : l’énigme des armes de Coulibaly », Karl Laske, Médiapart, 10 septembre 2015.
« Charlie Hebdo : la connexion Hermant-Coulibaly couverte par le secret de la Défense nationale », Le Greffier noir, 17 septembre 2015.
Source: "Les armes de Charlie-Hebdo couvertes par le Secret-Défense" (L'Esprit Du Moment Sep 19, 2015 03:47 pm) merah, charlie hebdo