Les Européens envisagent sans fard une sortie ordonnée de la Grèce : Les entreprises grecques établissent Maintenant les prix en drachmes
Hé bien voilà,on y arrive doucement .
Selon ZH , L’image ci-dessus a été envoyé par un touriste qui est allé à un café en Grèce, où les prix des menus sont maintenant de retour à la drachme :
Plus tôt aujourd’hui, Kathimerini a rapporté que le gouvernement grec, face à une crise de liquidités aiguë eétudie la possibilité que le pays va bientôt faire face à une pénurie de biens importés critiques, est commence les préparatifs pour l’introduction d’une monnaie alternative.
« Selon les rapports, le … processus de conception d’une monnaie parallèle a commencé. Par rapport a la situation actuelle les fonds gouvernementaux ne parviendrait pas à assumer l’obligation de payer les salaires et pensions à la fin du mois, « le quotidien grec dit.
Le rapport, qui a été rapidement rejetée par le ministère des Finances comme « complètement infondé », vient sur les talons des commentaires de l’ancien FinMin Yanis Varoufakis que les Grecs ‘envisagent l’option « Californienne » des IOU .
Bizarrement, les entreprises grecques ne semblent pas être en attente d’un mot d’ordre officiel d’Athènes pour se rabattre sur des solutions de rechange à l’euro.
L’image ci-dessus a été envoyé par un touriste qui est allé à un café en Grèce, où les prix des menus sont maintenant de retour à la drachme
(source Zero Hedge)
Notez aussi que «Les banques centrales n'ont pas à sauver la solvabilité des banques et du gouvernement», pour Jens Weidman
Les Européens envisagent sans fard une sortie ordonnée de la Grèce
Hormis la France, l'Italie, la Belgique et le Luxembourg, les pays de la zone euro sont tentés par une ligne dure face à la Grèce
Le président de l'Eurogroupe Jeroen Dijsselbloem comme le vice-président de la Commission européenne en charge de l'euro, Valdis Dombrovskis, ont tous deux souligné, lundi, quela victoire du non en Grèce allait nettement compliquer la recherche d'une solution. « Le rejet des propositions rend les choses plus difficiles », affirmait Jeroen Dijsselbloem, tout en promettant de continuer à chercher « des ouvertures ». « Une chose est sûre, la place de la Grèce est et reste dans l'Europe », déclarait Valdis Dombrovskis, en omettant à dessein de se prononcer sur sa place dans l'euro !
A Bruxelles, certain s hauts fonctionnaires, la mine déconfite, déclaraient lundi qu'ils allaient à présent mobiliser les services juridiques pour étudier comment organiser la sortie de la Grèce de la zone euro. Et chacun laissait entendre qu'au lendemain du « non » grec, les gouvernements penchaient majoritairement pour l'organisation d'une sortie ordonnée de la Grèce de la zone euro. Aucun des acteurs clés, qu'il s'agisse du président de la Commission européenne, Jean-Claude Juncker, de celui du Conseil européen, Donald Tusk, de François Hollande ou même d'Angela Merkel ne se sont dévoilés dans la journée de lundi.
– INTERVIEW : Guntram B. Wolff, : « L'histoire jugera Merkel et Hollande de façon très dure en cas de Grexit »
– PORTRAIT : Euclid Tsakalotos, nouveau ministre grec des Finances
– Hollande et Merkel donnent une dernière chance à Tsipras
– Les marchés financiers résistent face au risque de Grexit
Parmi ceux qui affichent les positions les plus raides, il y a logiquement les pays qui doivent décrocher un feu vert de leur Parlement pour soutenir financièrement la Grèce : Allemagne, Pays-Bas, Finlande, Slovaquie, Slovénie, Estonie. Après le « non » grec, aucun n'a envie d'aller jouer son avenir politique en demandant de nouveaux milliards à son Parlement ou un « haircut » sur la dette. Le ministre slovaque Peter Kazimir a ainsi tweeté : « Le rejet des réformes par la Grèce ne doit pas signifier qu'ils auront de l'argent plus facilement ».
Selon ZH , L’image ci-dessus a été envoyé par un touriste qui est allé à un café en Grèce, où les prix des menus sont maintenant de retour à la drachme :
Plus tôt aujourd’hui, Kathimerini a rapporté que le gouvernement grec, face à une crise de liquidités aiguë eétudie la possibilité que le pays va bientôt faire face à une pénurie de biens importés critiques, est commence les préparatifs pour l’introduction d’une monnaie alternative.
« Selon les rapports, le … processus de conception d’une monnaie parallèle a commencé. Par rapport a la situation actuelle les fonds gouvernementaux ne parviendrait pas à assumer l’obligation de payer les salaires et pensions à la fin du mois, « le quotidien grec dit.
Le rapport, qui a été rapidement rejetée par le ministère des Finances comme « complètement infondé », vient sur les talons des commentaires de l’ancien FinMin Yanis Varoufakis que les Grecs ‘envisagent l’option « Californienne » des IOU .
Bizarrement, les entreprises grecques ne semblent pas être en attente d’un mot d’ordre officiel d’Athènes pour se rabattre sur des solutions de rechange à l’euro.
L’image ci-dessus a été envoyé par un touriste qui est allé à un café en Grèce, où les prix des menus sont maintenant de retour à la drachme
(source Zero Hedge)
Notez aussi que «Les banques centrales n'ont pas à sauver la solvabilité des banques et du gouvernement», pour Jens Weidman
Lors d'une conférence organisée par la Bundesbank à Francfort en pleine crise grecque, son président a estimé que l'Eurosystème ne devait pas augmenter la fourniture de liquidités aux banques. Ce, jusqu'à ce qu'un accord d'aide financière soit adopté par toutes les parties.
Le président de la Bundesbank, Jens Weidmann, estime qu'il n'est pas du devoir de celle-ci de sauvegarder la solvabilité des banques et des gouvernements. «Ce type de redistribution implicite est du ressort des gouvernements ou des parlements», a-t-il déclaré en inaugurant une conférence à Francfort sur les leçons à tirer sur le rôle des banques centrales pendant les crises. Il s'adressait dans le contexte politique encore très incertain concernant l'avenir des banques grecques et de toute l'économie du pays. Mario Draghi, président de la BCE, «ne sait pas» si la Grèce peut être sauvée de la faillite, a-t-il déclaré au journal italien «Il Sole 24 Ore».Les Européens envisagent sans fard une sortie ordonnée de la Grèce
Le président de l'Eurogroupe Jeroen Dijsselbloem comme le vice-président de la Commission européenne en charge de l'euro, Valdis Dombrovskis, ont tous deux souligné, lundi, quela victoire du non en Grèce allait nettement compliquer la recherche d'une solution. « Le rejet des propositions rend les choses plus difficiles », affirmait Jeroen Dijsselbloem, tout en promettant de continuer à chercher « des ouvertures ». « Une chose est sûre, la place de la Grèce est et reste dans l'Europe », déclarait Valdis Dombrovskis, en omettant à dessein de se prononcer sur sa place dans l'euro !
A Bruxelles, certain s hauts fonctionnaires, la mine déconfite, déclaraient lundi qu'ils allaient à présent mobiliser les services juridiques pour étudier comment organiser la sortie de la Grèce de la zone euro. Et chacun laissait entendre qu'au lendemain du « non » grec, les gouvernements penchaient majoritairement pour l'organisation d'une sortie ordonnée de la Grèce de la zone euro. Aucun des acteurs clés, qu'il s'agisse du président de la Commission européenne, Jean-Claude Juncker, de celui du Conseil européen, Donald Tusk, de François Hollande ou même d'Angela Merkel ne se sont dévoilés dans la journée de lundi.
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– Hollande et Merkel donnent une dernière chance à Tsipras
– Les marchés financiers résistent face au risque de Grexit
Pour la plupart des Etats membres la messe était dite : Grexit
Mais hier, pour la plupart des Etats membres, lassés par six mois de vaines négociations, la messe était dite : Grexit. Le nouveau ministre des Finances grec Euclid Tsakalatos risque d'affronter, aujourd'hui, un Eurogroupe majoritairement hostile, la plupart des ministres des Finances ayant totalement perdu confiance dans la capacité du gouvernement grec à réformer le pays. Sa seule chance est de leur démontrer qu'il y aura à l’avenir un soutien de la majorité des partis du pays pour des réformes, afin de les convaincre d'aller vers un troisième plan d'aide.Parmi ceux qui affichent les positions les plus raides, il y a logiquement les pays qui doivent décrocher un feu vert de leur Parlement pour soutenir financièrement la Grèce : Allemagne, Pays-Bas, Finlande, Slovaquie, Slovénie, Estonie. Après le « non » grec, aucun n'a envie d'aller jouer son avenir politique en demandant de nouveaux milliards à son Parlement ou un « haircut » sur la dette. Le ministre slovaque Peter Kazimir a ainsi tweeté : « Le rejet des réformes par la Grèce ne doit pas signifier qu'ils auront de l'argent plus facilement ».
L'Irlande fait partie des plus intransigeants
Dans le camp des durs, on trouve aussi paradoxalement les pays qui ont eu un programme d'aide et qui ont fourni de lourds efforts pour en sortir. Au nom de l'équité des règles, ils seront intraitables. L'Irlande, qui n'a jamais obtenu la reprise par l'eurozone de la dette de ses banques, fait partie des plus intransigeants. Hier, le Premier ministre portugais a insisté une fois de plus sur le respect des règles : « C'est à la Grèce de décider si elle veut ou pas rester dans l'euro et si elle veut ou pas recevoir une aide externe dans les conditions qu'imposent les règles de l'euro ». Enfin, il est de notoriété publique que le Premier ministre espagnol Mariano Rajoy, en campagne électorale pour être réélu, n'a aucune sympathie pour Alexis Tsipras, l'ami de Pablo Iglesias, chef du parti Podemos. Son ministre de l'Economie, Luis de Guindos, s'est déclaré favorable à un « troisième programme pour la Grèce », mais il brigue la présidence de l'Eurogroupe contre Jeroen Dijsselbloem et tente donc de faire entendre une voie de compromis.Rôle crucial de François Hollande
Au final, le rôle de François Hollande est crucial pour rechercher le compromis. La France a constamment cherché l'ouverture. Elle ne peut cependant compter que sur l'appui de Matteo Renzi et, mezzo voce, sur celui de la Belgique et du Luxembourg. En public, le Premier ministre italien s'est montré dur contre Alexis Tsipras, mais en coulisses, ses équipes sont contre le Grexit, de peur de l'effet de contagion.
La France et l'Italie sont minoritaires mais elles totalisent néanmoins 82,2 milliards d'euros de créances sur la Grèce contre 68,2 milliards pour la seule Allemagne. Si la poursuite du soutien à la Grèce est moins une affaire financière que politique, en termes comptables, les deux pays ont de quoi s'opposer à un « Grexit ».
«Grexit» : comment la Grèce organiserait un retour à la drachme
La sortie de la Grèce de la zone euro est sérieusement envisagée par les créanciers d’Athènes. Que se passerait-il, concrètement, si la Grèce devait changer de monnaie ? Comment organiser la transition ? Explications.
Alors que les sommets «de la dernière chance» et les déclarations politiques s’enchaînent, le scénario d’une sortie de la Grèce de la zone euro se fait de plus en plus plausible.Les banques grecques ont suffisamment de liquidité pour alimenter leurs distributeurs de billets jusqu’à lundi. Que se passerait-il, concrètement, si la Grèce devait changer de monnaie? Comment organiser la transition?
Pour Christian de Boissieu, membre du Cercle des économistes et opposé à la sortie de la Grèce de la zone euro, «imprimer une nouvelle monnaie va relativement vite avec les moyens d’aujourd’hui, mais il y a tout un processus à mettre en place, ce qui reste assez long.» Avant de quitter définitivement la zone euro, il faudrait en effet «détricoter toutes sortes d’accords, de compensation, de paiements».
Selon la Banque de France, «le processus prendrait au moins un an: il faudrait dessiner les billets, trouver les éléments de sécurité pour les rendre infalsifiables.» En cas de crise de liquidité soudaine, la Grèce se retrouverait dans cette situation: la Banque centrale de Grèce devrait tamponner les billets, ce qui donnerait une nouvelle valeur aux billets pour les particuliers -sortant de fait les euros du circuit. Elle devrait imprimer des bons «IoU», des titres de créance émis par l’État grec, qui seraient utilisés par les entreprises pour leurs échanges commerciaux et par l’État pour payer les fonctionnaires et les retraités par exemple.
Pour Christian de Boissieu, membre du Cercle des économistes et opposé à la sortie de la Grèce de la zone euro, «imprimer une nouvelle monnaie va relativement vite avec les moyens d’aujourd’hui, mais il y a tout un processus à mettre en place, ce qui reste assez long.» Avant de quitter définitivement la zone euro, il faudrait en effet «détricoter toutes sortes d’accords, de compensation, de paiements».
Selon la Banque de France, «le processus prendrait au moins un an: il faudrait dessiner les billets, trouver les éléments de sécurité pour les rendre infalsifiables.» En cas de crise de liquidité soudaine, la Grèce se retrouverait dans cette situation: la Banque centrale de Grèce devrait tamponner les billets, ce qui donnerait une nouvelle valeur aux billets pour les particuliers -sortant de fait les euros du circuit. Elle devrait imprimer des bons «IoU», des titres de créance émis par l’État grec, qui seraient utilisés par les entreprises pour leurs échanges commerciaux et par l’État pour payer les fonctionnaires et les retraités par exemple.
Les Grecs pourraient vider leurs comptes en banque
Le ministère grec des Finances a du démentir officiellement des informations selon lesquelles son pays serait en train de préparer une nouvelle monnaie. Le journal Kathimerini (favorable au «oui» lors du dernier référendum et propriété d’un armateur) a en effet indiqué ce mercredi que le bureau général des comptes grecs avait commencé à préparer l’émission de titres de reconnaissance de dettes, les fameux «IoU». Des affirmations jugées «dangereuses», et «infondées», au moment où «les négociations avec les créanciers sont à un stade crucial», a dans la foulée déclaré le ministère.Source: "Les Européens envisagent sans fard une sortie ordonnée de la Grèce : Les entreprises grecques établissent Maintenant les prix en drachmes !!!" (Z Jul 09, 2015 03:49 pm) économie, général, International, établissent, Comment, de la Grèce, en drachmes, envisagent, grecques, Grexit, la drachme, la Grèce, le prix, Les entreprises, les européens, maintenant, ordonnée, organiserait, sans fard, un retour à, une sortie
La crise grecque, le révélateur de notre dépendance aux bureaucrates monétaires
Je pense qu’on va avoir un bel été, et que la Grèce sortira de l’Euro car TSIPRAS est un idéologue (c’est l'extrême gauche proche du communisme) qui veut une autre Europe et qui pour cela a le soutient d’un nombre impressionnant de personnes , partis, et pays (dont la Russie) . TSIPRAS C’est l’anti Europe des technocrates . D’autres pays de la Zone Euro suivront . Si la Grèce sort , ce sera la fin de la monnaie unique . Et je pense que c’est ce que souhaite l’Allemagne, pour recréer un Euroland à sa mesure parfaite . En attendant comme on le sait depuis longtemps,et comme le précise Philippe, ce sont ceux qui ont de l’argent en banque qui sont bien embêtés (d’où la recommandation de débancariser) Z .
Depuis le premier plan d'aide au printemps 2010, le feuilleton grec n'en finit pas ! Les « réunions de la dernière chance » s'enchaînent, les psychodrames n'en finissent pas, les déclarations « définitives » se suivent et se ressemblent. Ceci dit, avec le nouveau gouvernement d'Aléxis Tsipras et du mouvement Syriza, on a franchi un degré supplémentaire dans la tension, proche de l'hystérie désormais. Le jeune chef de gouvernement maîtrise comme rarement la dissuasion du faible au fort ainsi que l'art de souffler le chaud et le froid. Son référendum constitue un coup de poker qu'il a brillamment remporté, même si la question était biaisée : le non à l'austérité ne signifiait pas une sortie de l'euro selon lui, à partir de là, le oui (à l'austérité) ne pouvait pas l'emporter ! Rester dans l'euro sans plan d'austérité, tout en effaçant une partie importante de la dette, voici ce que souhaite Tsipras. L'Union Européenne ne l'entend pas de cette oreille, et les discussions reprennent, plus tendues que jamais…
La Grèce finira peut être par sortir de l'euro, nous verrons bien, mais ce que révèle cette crise, c'est surtout notre dépendance à des logiques étatiques sur lesquelles nous n'avons aucune prise. Et il y a de quoi s'inquiéter. En effet, pourquoi le débat sur la Grèce est-il si important ? Parce que des politiciens et des bureaucrates décident à notre place des questions monétaires et bancaires et ils ne nous laissent pas la liberté de contester leurs choix. Et de ce point de vue, l'UE et Tsipras sont à mettre dans le même sac.
L'épargnant grec est coincé : le contrôle des capitaux l'empêche de virer son argent à l'étranger, et ses retraits sont limités à 60 euros par jour. Il est devenu un prisonnier. Face à ces contraintes, les commerçants voient leur chiffre d'affaires s'effondrer : ils ne peuvent plus payer leurs fournisseurs étrangers et leurs clients n'ont plus d'argent. Qu'en est-il pour l'épargnant européen ? Sans lui demander son avis, les gouvernements ont décidé de prêter à la Grèce à fonds perdus, il se retrouve ainsi avec une dette (60 milliards pour la France) qu'il devra honorer un jour ou l'autre puisque chacun sait qu'Athènes ne pourra jamais rembourser.
Et si la crise s'accentue, l'épargnant portugais, espagnol, italien ou français se retrouvera dans la situation de son compagnon d'infortune grec. Tout cela parce que des bureaucrates décident de la monnaie à notre place. Mais pourquoi ne pas laisser cette liberté aux acteurs économiques ? Si la Grèce était entré dans la zone euro tout en conservant la drachme pour ses échanges intérieurs, la crise actuelle ne se serait pas produite ! Voici d'ailleurs ce qu'il faudrait faire, réintroduire la monnaie nationale tout en garantissant que les euros actuellement détenus par les Grecs ne seront pas changés en drachmes. Libres à eux ensuite de passer d'une monnaie à l'autre.
Voici aussi ce que l'on devrait faire avec les pays qui doivent normalement adopter l'euro dans les années qui viennent (Pologne, Tchéquie, Hongrie, Roumanie, Bulgarie, Croatie et même la Suède qui l'a refusé par référendum en 2003 mais ne possède pas de dérogation comme le Royaume-Uni et le Danemark). Que ces pays gardent leurs monnaie nationales et facilitent la circulation de l'euro, chacun choisira et les crises des dettes publiques seront ainsi évitées. Mais un bureaucrate n'aime pas vous laisser le choix, il préfère décider à votre place, malheureusement.
Que reste-t-il à l'épargnant pour se protéger des décisions politiques plus ou moins irrationnelles ? Le report vers des actifs réels comme l'immobilier ou – protection suprême – l'or physique qui ne subit pas le risque spécifique attaché à tel ou tel bien immobilier, et qui bénéficie en plus d'une parfaite liquidité. Acheter de l'or c'est dire aux bureaucrates « je n'ai pas confiance en vous », et c'est vrai, ils ne la méritent pas.
source
Source: "La crise grecque, le révélateur de notre dépendance aux bureaucrates monétaires" (Z Jul 09, 2015 02:20 pm) économie, général, International, aux bureaucrates, grecque, la crise, le révélateur de, monétaires, notre dépendance
il y a 3 jours ... Source: "Sondages : la majorité des Grecs votent « non » – Les leçons du
référendum grec (SAPIR)" (Z Jul 05, 2015 03:48 pm) général, ...
bestofactus.blogspot.com/.../libre-la-grece-liberee-de-la-pieuvre.html
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13 juin 2015 ... Les créanciers de la Grèce commenceraient à envisager les conséquences d'un
non-remboursement de la Grèce, selon plusieurs sources ...
bestofactus.blogspot.com/.../5-ans-plus-tard-levidence-la-grece-sur.html
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5 déc. 2013 ... Source: "En Grèce, le marché du travail grec ressemble de plus en plus à un
marché aux esclaves" (noreply@blogger.com (Rorschach) Dec 05 ...
bestofactus.blogspot.com/.../en-grece-le-marche-du-travail-grec.html
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