Mobilisation générale contre la pédomaçonnerie

vendredi 19 juin 2015

Panique bancaire : les grecs retirent plus de 3 milliards d'euros ! #bankrun

 

Panique bancaire en vue: les grecs ont retiré plus de 3 milliards d'euros de leurs comptes depuis lundi



"La BCE a déclaré lors de la réunion des ministres des Finances de la zone euro qui s'est tenue jeudi à Luxembourg qu'elle n'était pas sûre que les banques grecques seraient en mesure d'ouvrir lundi." (Dixit Reuters)

Entre le principe du bail-in imposé dans la zone euro et les pourparlers pour éliminer l'argent physique, ils ont pensé à tout pour racketter les gens jusqu'au bout. Cette réunion avec les grandes banques a eu lieu fin mai et celle du Bilderberg quelques jours plus tard avec les grand noms de la finance. Ce serait bien étonnant que ce projet n'ait pas été à l'ordre du jour aussi en Autriche. Entre temps, la course à la montre pour récupérer ses économies à commencer en Grèce. Fawkes

INFOGRAPHIE - Face à l'enlisement de la crise, les Grecs s'inquiètent et ont retiré 3 milliards d'euros de leurs comptes depuis le début de la semaine, un record. La Banque Centrale Européenne (BCE) va discuter de solutions en urgence pour éviter la fermeture des banques grecques.


Source: "Panique bancaire en vue: les grecs ont retiré plus de 3 milliards d'euros de leurs comptes depuis lundi" (noreply@blogger.com (Guy Fawkes) Jun 19, 2015 09:47 am)



21 juin 2015 - Athènes dans la rue

 

 

La Grèce est-elle sur le point d'abandonner l'euro ?, par Ariel Noyola Rodríguez


Le Premier ministre grec, Aléxis Tsípras, n'a pas encore trouvé d'accord avec la troïka sur la viabilité économique. Par conséquent, les chances de Syriza de remplir ses promesses de campagne électorale sous le joug de l'Union monétaire européenne sont devenues de plus en plus minces. Si Bruxelles ne met pas fin à ses exigences d'austérité, le gouvernement grec sera face à un chemin douloureux. La seule chose qui pourrait briser la dictature des créanciers, est de quitter la zone euro.
Source: "La Grèce est-elle sur le point d'abandonner l'euro ?, par Ariel Noyola Rodríguez" (Ariel Noyola Rodríguez Jun 19, 2015 09:49 am)

tsipras-fmi

Grèce/FMI : vers une sortie imminente de l'UE !


Nous en parlons depuis des années, le sauvetage de la Grèce a été une très grosse erreur qui a coûté à l’UE des centaines de milliards d’euros qu’elle n’était pas censée avoir en 2008. Pourtant, les voyous apatrides de la finance mondialiste ont quand même prêté à l’économie grecque moribonde des sommes colossales qu’ils ne pourront jamais rembourser. Aujourd’hui, M. Tsipras traite le FMI de criminels, il n’a que quelques décennies de retard. A-t-il lu le livre de John Perkins ? Peut-être ! Mais il faut qu’il comprenne que le FMI assassinait toute personne qui ne s'agenouillait pas devant lui…
Bref, tout ça pour ça ! In fine, la Grèce sortira de la zone euro et c’est la meilleure chose qu’elle puisse faire si elle veut se débarrasser des griffes des banksters. Nous avons encore une fois eu raison 7 ans à l’avance sans avoir aucune formation technique économique. Rappelons que la science économique fait partie des sciences humaines et n’est donc rien d’autre que spéculations et théories fumeuses ; cette énième crise en est la preuve pour ceux qui douteraient encore.
Depuis plusieurs semaines, le Fonds monétaire international redouble d'attentions pour la Grèce, qu'il « cajole » par la voix de sa directrice générale, Christine Lagarde, dans les médias allemands d'une invitation à la sortie. Le « Grexit » est désormais une « possibilité » a menacé en effet l'ancienne ministre de l'Economie de Nicolas Sarkozy fin mai.
Une invitation à laquelle a répondu le Premier ministre grec, Alexis Tsipras, ce mardi 16 juin devant les parlementaires. « Le FMI ne vient pas d'arriver en Grèce, tonne-t-il, il a (depuis cinq ans) une responsabilité criminelle par rapport à ce qui se passe ici. » A ce titre, « L’insistance des institutions à poursuivre un programme qui a clairement échoué ne peut pas relever de l’erreur ou du zèle excessif, (…) elles semblent vouloir envoyer le message à la Grèce et aux peuples européens qu’un mandat populaire ne peut pas changer les choses. » Or, poursuit-il : « Le mandat que nous avons obtenu du peuple grec est d’en finir avec la politique d’austérité (…). Pour y parvenir, nous devons rechercher un accord qui répartisse le fardeau équitablement et qui ne porte pas préjudice aux salariés et aux retraités. »
Mais ça, ils sont quelques-uns à ne pas vouloir l’entendre. Et à tenter de jouer le peuple grec contre son gouvernement. Hier, Jean-Claude Juncker, le président de la Commission européenne a ainsi osé déclarer lors d’une conférence de presse : « Je ne me soucie pas du gouvernement grec, je me soucie du peuple grec », accusant au passage Tsipras de désinformer ses concitoyens sur l’avancement des négociations. En attendant, une personne sur quatre en Grèce vit sous le seuil de la pauvreté.

Source: "Grèce/FMI : vers une sortie imminente de l'UE !" (Administration Jun 17, 2015 08:21 pm) Economie et Finance, Crise, grèce, UE


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La banque centrale grecque craint « une crise incontrôlable » si les négociations échouent : Une faillite de la Grèce « provoquerait un séisme sur les marchés financiers »


Crédit Photo : DANIEL ROLAND/AFP
« Inflation galopante », « profonde récession », « effondrement »… la Banque de Grèce ne manque pas de mots pour prédire les calamités qui s’abattront sur le pays en cas de Grexit. L’institution, dirigée par un opposant de Syriza, met ainsi la pression sur le gouvernement Tsipras mais aussi sur les créanciers, les enjoignant à signer un accord qu’elle qualifie d' »impératif historique ».
« L’incapacité à parvenir à un accord marquerait le début d’un chemin douloureux qui mènerait d’abord à un défaut de paiement de la Grèce puis, au bout du compte, à la sortie du pays de la zone euro et, très probablement, de l’Union européenne », écrit notamment la banque centrale grecque .
Et le défaut, c’est bientôt ! (techniquement c’est déjà le cas) Mais vu le bank run épique qui a lieu, même si la BCE vient de remonter un peu le plafond de l’aide d’urgence (ELA), c’est insupportable pour les banques grecques, et ça risque d’exploser en plein vol . Z .
Une faillite de la Grèce provoquerait un séisme sur les marchés financiers
Pour les experts les plus optimistes, la purge pourrait n'être que ponctuelle. Au bout de trois ou quatre mois, les actions européennes pourraient ainsi fortement rebondir.
Une faillite de la Grèce pendant l'été provoquera un séisme sur les marchés financiers. «Les marchés actions européens chuteront brutalement et violemment, un peu à l'image de ce qui s'est produit en 1998 lors de la crise asiatique», anticipe Pierre Sabatier chez PrimeView. Plus risqués que les marchés occidentaux, les pays émergents seront aussi durement malmenés par effet de contagion. Seul le marché américain pourrait un peu mieux résister», détaille Pierre Sabatier. Tous les secteurs devraient être emportés par la tourmente. «Mais, c'est le secteur financier, banques et assurances, qui souffrira le plus, même s'il devrait tout de même un peu mieux résister qu'en 2011 et 2012 car les banques ne sont pratiquement plus exposées à la Grèce», explique Tangi Le Liboux, chez Aurel BGC. Pour les experts les plus optimistes, la purge pourrait n'être que ponctuelle. «Au bout de trois ou quatre mois, les actions européennes pourraient fortement rebondir», prévoit Pierre Sabatier. Un avis partagé. «Pour certains investisseurs non européens, la sortie de la Grèce de la zone euro ne serait pas une mauvaise chose», justifie Tangi Le Liboux.
Les marchés obligataires seront aussi soumis à très rude épreuve, si la Grèce n'obtient pas les 7,2 milliards d'euros devant notamment lui permettre de rembourser la BCE en juillet. «On entrera alors en territoire inconnu. Les marchés obligataires seront les plus touchés, comme c'est déjà le cas aujourd'hui», estime Patrick Jacq, chez BNP Paribas. Par crainte de contagion, ce sont les emprunts d'états des pays dit périphériques, l'Espagne et l'Italie et surtout le Portugal qui devraient le plus souffrir. Les investisseurs pourraient alors céder massivement leurs titres ce que ferait significativement grimper leurs taux (plus les investisseurs vendent une obligation, plus le rendement augmente et le prix baisse; plus ils achètent une obligation, plus son rendement baisse et plus son prix augmente). «La contagion pourrait toutefois être moins importante qu'en 2012», estime Frédérik Ducrozet, chez Crédit Agricole CIB. Le programme de rachats d'actifs de la BCE devrait permettre de limiter les dégâts.

L'euro aussi sera touché

«La BCE jouera son rôle de prêteur en dernier recours à ces pays», avance Pierre Sabatier. En cas de faillite, l'obligation souveraine allemande à 10 ans, le Bund, retrouvera lui ses habits de valeur refuge, ce qui fera baisser son taux. Le rendement des emprunts d'état des pays les plus solides (France, Pays-Bas, Finlande…) se détendra aussi, mais dans une moindre mesure. Car comme on peut déjà l'observer depuis quelques jours, l'écart entre les taux allemands et français notamment devrait se creuser. «Si le pire des scénarios se concrétise, c'est-à-dire si la Grèce sort de la zone euro et de l'Union européenne, un mouvement de panique gagnera les marchés et les taux allemands à 10 ans pourraient passer en territoire négatif et le taux français devrait également baisser, même si on peut imaginer un écartement vis-à-vis de l'Allemagne», prévoit Frédérik Ducrozet. «Les autres marchés obligataires (obligations d'entreprise) pourraient aussi être contaminés par un effet de propagation du risque», estime Patrick Jacq.
Enfin, l'euro sera bien sur lui aussi touché. «Il chutera face au dollar mais aussi et surtout comme c'est déjà le cas, face au franc suisse, devenu la valeur refuge sur le marché des changes», estime Patrick Jacq.
http://bourse.lefigaro.fr/indices-actions/actu-conseils/une-faillite-de-la-grece-provoquerait-un-seisme-sur-les-marches-financiers-4356119


Source: "La banque centrale grecque craint « une crise incontrôlable » si les négociations échouent : Une faillite de la Grèce « provoquerait un séisme sur les marchés financiers »" (Z Jun 19, 2015 03:50 pm) économie, général, International, échouent, centrale, craint, financiers, grecque, incontrôlable, La banque, la Grèce, Les négociations, provoquerait, si, sur les marchés, un séisme, une crise, Une faillite de


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