Panique bancaire en vue: les grecs ont retiré plus de 3 milliards d'euros de leurs comptes depuis lundi
"La BCE a déclaré lors de la réunion des ministres des Finances de la zone euro qui s'est tenue jeudi à Luxembourg qu'elle n'était pas sûre que les banques grecques seraient en mesure d'ouvrir lundi." (Dixit Reuters)
Entre le principe du bail-in imposé dans la zone euro et les pourparlers pour éliminer l'argent physique, ils ont pensé à tout pour racketter les gens jusqu'au bout. Cette réunion avec les grandes banques a eu lieu fin mai et celle du Bilderberg quelques jours plus tard avec les grand noms de la finance. Ce serait bien étonnant que ce projet n'ait pas été à l'ordre du jour aussi en Autriche. Entre temps, la course à la montre pour récupérer ses économies à commencer en Grèce. Fawkes
INFOGRAPHIE - Face à l'enlisement de la crise, les Grecs s'inquiètent et ont retiré 3 milliards d'euros de leurs comptes depuis le début de la semaine, un record. La Banque Centrale Européenne (BCE) va discuter de solutions en urgence pour éviter la fermeture des banques grecques.
Source: "Panique bancaire en vue: les grecs ont retiré plus de 3 milliards d'euros de leurs comptes depuis lundi" (noreply@blogger.com (Guy Fawkes) Jun 19, 2015 09:47 am)
21 juin 2015 - Athènes dans la rue |
Le Premier ministre grec, Aléxis Tsípras, n'a pas encore trouvé d'accord avec la troïka sur la viabilité économique. Par conséquent, les chances de Syriza de remplir ses promesses de campagne électorale sous le joug de l'Union monétaire européenne sont devenues de plus en plus minces. Si Bruxelles ne met pas fin à ses exigences d'austérité, le gouvernement grec sera face à un chemin douloureux. La seule chose qui pourrait briser la dictature des créanciers, est de quitter la zone euro. Source: "La Grèce est-elle sur le point d'abandonner l'euro ?, par Ariel Noyola Rodríguez" (Ariel Noyola Rodríguez Jun 19, 2015 09:49 am) Grèce/FMI : vers une sortie imminente de l'UE !
Nous
en parlons depuis des années, le sauvetage de la Grèce a été une très
grosse erreur qui a coûté à l’UE des centaines de milliards d’euros
qu’elle n’était pas censée avoir en 2008. Pourtant, les voyous apatrides
de la finance mondialiste ont quand même prêté à l’économie grecque
moribonde des sommes colossales qu’ils ne pourront jamais rembourser.
Aujourd’hui, M. Tsipras traite le FMI de criminels, il n’a que quelques
décennies de retard. A-t-il lu le livre de John Perkins ? Peut-être !
Mais il faut qu’il comprenne que le FMI assassinait toute personne qui
ne s'agenouillait pas devant lui…
Bref, tout ça pour ça ! In fine, la Grèce sortira de la zone euro et c’est la meilleure chose qu’elle puisse faire si elle veut se débarrasser des griffes des banksters. Nous avons encore une fois eu raison 7 ans à l’avance sans avoir aucune formation technique économique. Rappelons que la science économique fait partie des sciences humaines et n’est donc rien d’autre que spéculations et théories fumeuses ; cette énième crise en est la preuve pour ceux qui douteraient encore.
Source: "Grèce/FMI : vers une sortie imminente de l'UE !" (Administration Jun 17, 2015 08:21 pm) Economie et Finance, Crise, grèce, UE La banque centrale grecque craint « une crise incontrôlable » si les négociations échouent : Une faillite de la Grèce « provoquerait un séisme sur les marchés financiers »
Crédit Photo : DANIEL ROLAND/AFP
« Inflation
galopante », « profonde récession », « effondrement »… la Banque de
Grèce ne manque pas de mots pour prédire les calamités qui s’abattront
sur le pays en cas de Grexit. L’institution, dirigée par un opposant de
Syriza, met ainsi la pression sur le gouvernement Tsipras mais aussi sur
les créanciers, les enjoignant à signer un accord qu’elle qualifie
d' »impératif historique ».
« L’incapacité
à parvenir à un accord marquerait le début d’un chemin douloureux qui
mènerait d’abord à un défaut de paiement de la Grèce puis, au bout du
compte, à la sortie du pays de la zone euro et, très probablement, de
l’Union européenne », écrit notamment la banque centrale grecque .
Et
le défaut, c’est bientôt ! (techniquement c’est déjà le cas) Mais vu le
bank run épique qui a lieu, même si la BCE vient de remonter un peu le
plafond de l’aide d’urgence (ELA), c’est insupportable pour les banques
grecques, et ça risque d’exploser en plein vol . Z .
Une faillite de la Grèce provoquerait un séisme sur les marchés financiers
Pour
les experts les plus optimistes, la purge pourrait n'être que
ponctuelle. Au bout de trois ou quatre mois, les actions européennes
pourraient ainsi fortement rebondir.
Une faillite de la Grèce
pendant l'été provoquera un séisme sur les marchés financiers. «Les
marchés actions européens chuteront brutalement et violemment, un peu à
l'image de ce qui s'est produit en 1998 lors de la crise asiatique»,
anticipe Pierre Sabatier chez PrimeView. Plus risqués que les marchés
occidentaux, les pays émergents seront aussi durement malmenés par effet
de contagion. Seul le marché américain pourrait un peu mieux résister»,
détaille Pierre Sabatier. Tous les secteurs devraient être emportés par
la tourmente. «Mais, c'est le secteur financier, banques et assurances,
qui souffrira le plus, même s'il devrait tout de même un peu mieux
résister qu'en 2011 et 2012 car les banques ne sont pratiquement plus
exposées à la Grèce», explique Tangi Le Liboux, chez Aurel BGC. Pour les
experts les plus optimistes, la purge pourrait n'être que ponctuelle.
«Au bout de trois ou quatre mois, les actions européennes pourraient
fortement rebondir», prévoit Pierre Sabatier. Un avis partagé. «Pour
certains investisseurs non européens, la sortie de la Grèce de la zone euro ne serait pas une mauvaise chose», justifie Tangi Le Liboux.
Les marchés obligataires seront aussi soumis à très rude épreuve, si la Grèce n'obtient pas les 7,2 milliards d'euros devant notamment lui permettre de rembourser la BCE en juillet. «On entrera alors en territoire inconnu. Les marchés obligataires seront les plus touchés, comme c'est déjà le cas aujourd'hui», estime Patrick Jacq, chez BNP Paribas. Par crainte de contagion, ce sont les emprunts d'états des pays dit périphériques, l'Espagne et l'Italie et surtout le Portugal qui devraient le plus souffrir. Les investisseurs pourraient alors céder massivement leurs titres ce que ferait significativement grimper leurs taux (plus les investisseurs vendent une obligation, plus le rendement augmente et le prix baisse; plus ils achètent une obligation, plus son rendement baisse et plus son prix augmente). «La contagion pourrait toutefois être moins importante qu'en 2012», estime Frédérik Ducrozet, chez Crédit Agricole CIB. Le programme de rachats d'actifs de la BCE devrait permettre de limiter les dégâts. L'euro aussi sera touché«La BCE jouera son rôle de prêteur en dernier recours à ces pays», avance Pierre Sabatier. En cas de faillite, l'obligation souveraine allemande à 10 ans, le Bund, retrouvera lui ses habits de valeur refuge, ce qui fera baisser son taux. Le rendement des emprunts d'état des pays les plus solides (France, Pays-Bas, Finlande…) se détendra aussi, mais dans une moindre mesure. Car comme on peut déjà l'observer depuis quelques jours, l'écart entre les taux allemands et français notamment devrait se creuser. «Si le pire des scénarios se concrétise, c'est-à-dire si la Grèce sort de la zone euro et de l'Union européenne, un mouvement de panique gagnera les marchés et les taux allemands à 10 ans pourraient passer en territoire négatif et le taux français devrait également baisser, même si on peut imaginer un écartement vis-à-vis de l'Allemagne», prévoit Frédérik Ducrozet. «Les autres marchés obligataires (obligations d'entreprise) pourraient aussi être contaminés par un effet de propagation du risque», estime Patrick Jacq.Enfin, l'euro sera bien sur lui aussi touché. «Il chutera face au dollar mais aussi et surtout comme c'est déjà le cas, face au franc suisse, devenu la valeur refuge sur le marché des changes», estime Patrick Jacq. http://bourse.lefigaro.fr/indices-actions/actu-conseils/une-faillite-de-la-grece-provoquerait-un-seisme-sur-les-marches-financiers-4356119 Source: "La banque centrale grecque craint « une crise incontrôlable » si les négociations échouent : Une faillite de la Grèce « provoquerait un séisme sur les marchés financiers »" (Z Jun 19, 2015 03:50 pm) économie, général, International, échouent, centrale, craint, financiers, grecque, incontrôlable, La banque, la Grèce, Les négociations, provoquerait, si, sur les marchés, un séisme, une crise, Une faillite de C'est parti ? Bank run "massif" en Grèce : 700 M € en 1 jour
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il y a 6 jours ... SAPIR avait prévenu : un bank run (panique bancaire) en Grèce pouvait ... Les
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