Mobilisation générale contre la pédomaçonnerie

jeudi 5 mars 2015

Fin des monnaies de singes : y'aura plus qu'à se gratter ?

Selon ce dernier sondage, malgré le compromis adopté la semaine dernière entre la Grèce et ses partenaires de la zone euro, un nombre croissant d'investisseurs s'attendent à ce que le pays quitte la zone euro dans les mois à venir.

38 % des investisseurs pensent que la zone euro ne passera pas l'année !!


© Fournis par La Tribune Selon ce dernier sondage, malgré le compromis adopté la semaine dernière entre la Grèce et ses partenaires de la zone euro, un nombre croissant d’investisseurs s’attendent à ce que le pays quitte la zone euro dans…
Un indicateur fort … Sans oublier l’Italie , avec des élections  haut risque cet été  : les chances d’explosion en plein vol de la zone Euro avant fin 2015 sont assez sérieuses . Z .
Le nombre d’investisseurs estimant que la zone euro se désintègrera d’ici à un an n’avait plus été aussi élevé depuis début 2013. Par la rédaction d’Euractiv
L’index Sentix de désintégration de la zone euro pour février affiche son taux le plus haut depuis mars 2013 : 38 % des sondés estiment en effet que le bloc ne survivra pas à l’année à venir, contre 24,3 % en janvier.
Le record de l’index Sentix, 73 %, a été atteint en juillet 2012. Le taux le plus bas jamais enregistré était 7,6 %, en juillet 2014. Le dernier sondage a été mené du 26 au 28 février, auprès de 980 investisseurs privés ou institutionnels.

Source: "38 % des investisseurs pensent que la zone euro ne passera pas l'année !!" (Z Mar 04, 2015 03:05 pm) économie, général, International, Politique, 38 %, des Investisseurs, explosion, l'année, la Zone euro, ne passera pas, pensent que

Après le dollar, quelle devise de réserve pour le système monétaire mondial

Nous allons clairement vers un nouveau système monétaire garanti par de l’or, c’est la seule solution,  pour redonner confiance, par définition, aux devises fiduciaires, que la création monétaire ex nihilo massive (et historique) est en train de réduire en miettes . L’histoire ne fait que se répéter, c’est tout ce qu’il faut savoir . Z .
leadimg▪ Après le déclenchement de la crise économique et financière mondiale, les principales banques centrales et les gouvernements ont essayé par tous les moyens de trouver une solution appropriée. La première étape a été la mise en œuvre de mesures d'urgence pour sauver les banques et les compagnies d'assurance. La deuxième étape a été le lancement d'une politique monétaire expansive. La troisième étape a consisté à créer quantité de programmes de relance économique, tous financés à crédit.
on est passé à une quatrième étape : une politique monétaire ultra-expansive encore jamais vue
Sur les marchés des devises, la dévaluation est déjà en cours. La BCE et la Banque du Japon sont en train d'affaiblir leur monnaie respective, l'euro et le yen. La Banque centrale chinoise veut éviter une réévaluation du yuan. Le rouble est sous une pression considérable à cause de l'Ukraine. Les devises des matières premières, les dollars canadien, australien et néo-zélandais souffrent de la faiblesse des marchés à terme. La Banque nationale suisse fait tout ce qu'elle peut pour empêcher une appréciation du franc suisse après sa décision d'abandonner le taux plancher par rapport à l'euro. La banque d'Angleterre est loin d'être heureuse de la montée de la livre sterling. Les spéculateurs à travers le monde sont déjà presque tous longen dollar US. Les Etats-Unis ne veulent pas du tout d'une réévaluation du dollar qui aggraverait encore plus les déficits de leur commerce extérieur. L'économie mondiale et le système monétaire mondial sont en pleine mutation.Comme tout cela n'a pas suffi, on est passé à une quatrième étape : une politique monétaire ultra-expansive encore jamais vue, avec l'assouplissement quantitatif et le recours sans limite à la dette publique. Tout cela étant resté sans succès véritable, on est rentré dans une cinquième étape consistant, pour les pays, à utiliser sanctions et mesures protectionnistes. Inévitablement commence maintenant une sixième étape : la course à la dévaluation.
La part dans le PIB global des différentes régions du monde n'est pas en proportion de leur part dans les réserves mondiales de change, qui s'élèvent actuellement à environ 11 770 milliards de dollars. Le FMI, dans sa "Currency Composition of Official Foreign Exchange Reserves" (COFER), est en mesure d'allouer 52,5% de ce montant — dont 62,3% sont libellés en dollar américain et 26,6% en euro. Si l'on y ajoute le yen japonais (4%), la livre britannique (3,8%), le dollar canadien (1,9%) et le dollar australien (1,9%), alors ces six monnaies représentent 97% des réserves mondiales.Le produit intérieur brut (PIB) de l'EU28 exprimé en standards de pouvoir d'achat (SPA 1), représente 18,6% du PIB mondial en 2011. Les Etats-Unis, deuxième plus grande économie, représentent 17,1% et la Chine, en troisième position, représente 14,9% (source : Eurostat). La Banque mondiale et l'ONU sont même persuadées que, selon cette méthode de calcul, la Chine serait maintenant à la première place et l'Inde devant le Japon.
▪ Par quoi remplacer le dollar ?
L'euro ne deviendra pas la monnaie de réserve mondiale ;  dans ce rôle, nous allons plutôt voir émerger un panier de devises.
Les candidats potentiels pour entrer dans le cercle des monnaies de réserve mondiales sont le yuan, la roupie, le réal et le rouble — mais aucune ne remplit, actuellement, la condition de libre convertibilité.
L'organisation Swift (Society for Worldwide Financial Telecommunications) a publié une liste des monnaies d'après leur utilisation pour les paiements transfrontaliers. Dans le haut de la liste on trouve le dollar (44,6%) et l'euro (28,3%), suivis par la livre sterling (7,9%), le yen (2,67%), le dollar canadien (1,8%) et le dollar australien (2%).La plus grande part des réserves en devises du monde reste libellée en dollars US. En fait, le montant nominal en dollars US est resté au même niveau au cours des derniers trimestres, mais a baissé en pourcentage. L'euro ne deviendra pas la monnaie de réserve mondiale ;  dans ce rôle, nous allons plutôt voir émerger un panier de devises.
Dans ce classement, le yuan chinois a pris la cinquième place (13ème il y a deux ans). Il représente seulement 2,17% de la valeur totale des paiements, mais affiche une forte dynamique. En 2017, le yuan pourrait être librement convertible. Actuellement, sa variation quotidienne avec le dollar US est limitée à un couloir étroit. On estime que sa part de marché devrait s'élever à 25% d'ici 2020. Avec une plus large utilisation internationale, le yuan pourrait être enregistré dans un panier de devises étrangères désignées par le FMI comme monnaie de réserve. Ces devises de réserve sont la base des droits de tirage spéciaux (DTS) gérés par le FMI et qui feront, cette année, l'objet du réajustement qui a lieu tous les cinq ans.
Les poids des pays dans l'économie mondiale sont donc différents du poids de leur monnaie dans le système mondial de réserves de devises et différents de la part que ces monnaies prennent dans les paiements internationaux. Bien sûr, ces différents pourcentage ne peuvent pas être exactement les mêmes, mais les écarts sont devenus si grands que les tensions et les frictions font naître des tendances protectionnistes et ralentissent la dynamique du développement économique. Le rôle dominant du dollar va diminuer dans les prochaines années.
▪ L'or n'a pas dit son dernier mot…
Les banques centrales détiennent une partie de leurs réserves monétaires en or. La Chine et la Russie ont considérablement augmenté le stock d'or dans leurs réserves en devises au cours des derniers trimestres. Les vendeurs ont été principalement les fonds occidentaux. Officiellement, la Chine détient 1 054 t et la Russie 1 208 t d'or dans leurs réserves monétaires, respectivement une part de 1% et 1,2%. Les Etats-Unis détiennent 8133 t (71,6%) et l'Allemagne 3384 t (67%). La France et l'Italie ont chacune 2450 t (66%).
Actuellement, les banques centrales de la Zone euro ont provisionné 10 792 t d'or comme "réserve de sécurité". Toutes les banques centrales ont acheté ensemble 477 t en 2014 ( le plus grand volume en 50 ans) et sont susceptibles, selon le World Gold Council, d'en acheter au moins 400 t en 2015. Ainsi, la question se pose : se préparent-elles déjà à un changement du rôle de l'or dans le système monétaire mondial?
Conclusion : une solution aux déséquilibres internationaux doit être trouvée. Si les politiques ne la trouvent pas, ce sont les marchés qui l'imposeront. Une réforme du système monétaire mondial n'est pas pour tout de suite mais, sur une période de 10 ans, un panier constitué de plusieurs monnaies et d'or pourrait remplacer le système actuel. Les investisseurs sur les marchés financiers doivent s'y préparer. Le dollar américain est loin d'être "la seule monnaie alternative" et l'or n'est pas nécessairement "à éviter", contrairement aux observations répétées des médias…

http://la-chronique-agora.com/apres-dollar-quelle-devise-reserve-systeme-monetaire-mondial/


Source: "Après le dollar, quelle devise de réserve pour le système monétaire mondial" (Z Mar 04, 2015 02:35 pm) économie, général, or et argent métal, Après, Cours De L'or, de réserve pour, dette, devise, L'or physique, l'assouplissement quantitatif, le dollar, le système, metaux précieux, monétaire mondial, monetaire, penurie d'or, publique, Quelle, système

La guerre des monnaies en images

Les grands manipulateurs de notre monde utilisent désormais le terme « guerre des monnaies » dans un sens similaire à la stratégie protectionniste de dévaluation de devise qui sert à stimuler les exportations et pénaliser les importations.
C'est une stratégie qui se poursuit depuis longtemps, notamment parmi les Tigres asiatiques, menés par le Japon et perfectionnés par la Chine. Mais ne vous détrompez pas, le cœur de ce processus est un cartel bancaire et industriel anglo-américain qui a pour intention de se protéger contre tout le monde.
Et les corporations multinationales ont joué le jeu. Elles ont été ses grands lobbyistes, et leurs riches scions ont financé des groupes de réflexion pour lui offrir logique et respectabilité.
Walmart a écrit un nouveau chapitre dans le gospel de la cupidité dans le seul but de saper les salaires et les ouvriers américains en insistant dès les années 1990 et l'ère Clinton sur le fait que les fournisseurs devraient commencer à délocaliser en Chine. Les politiciens serviles ont ouvert grand les portes et fermé les yeux sur les abus qui finissent toujours par se tourner contre nous.
Cet arrangement a en partie été un qui pro quo. Les multinationales, qui ont avec grand succès organisé un coup d'Etat aux Etats-Unis et en Europe de l'ouest, ont élargi la portée de leurs politiques du dollar et d'europression au travers d'investissements directs sur des nations et des marchés étrangers riches en ressources afin de consolider leur pouvoir au travers du monde non-démocratique.
Mais la Chine et la Russie ont interrompu ce processus. Elles ont réalisé qu'ouvrir leurs propres portes à l'exploitation du dollar et permettre aux tueurs à gages économiques de venir prendre chez elles les actifs dont ils avaient besoin pour trois sous finirait par générer des agitations politiques, et leur propre chute.
Les « révolutions colorées » sont devenues populaires, alors qu'un pays après l'autre sombrait dans le chaos, le genre de chaos qui produit des ventes éclairs d'actifs productifs et l'élimination des rivaux inconvénients du pouvoir. Et en Europe, les pouvoirs en place ont créé une structure avec l'euro qu'aucun économiste n'aurait pu imaginer insoutenable, et destinée à aboutir sur un déséquilibre au peu de gagnants et aux nombreux perdants.
C'est ainsi qu'un consortium de nations a commencé à résister. Certains les ont appelé les BRICS. Ils se sont alarmés avant d'être convaincus qu'autoriser une seule nation ou un seul groupe de multinationales au contrôle de la devise de référence internationale ne pourrait être autre chose qu'une combine à la Ponzi qui ne pourrait que continuer jusqu'à ce qu'elle ait conquis le monde entier.
Ils ont commencé à faire entendre leur voix au travers d'organisations monétaires internationales, un secteur longtemps dominé par les cartels bancaires et industriels anglo-américains. Ils ont demandé à ce que soit établi un nouvel étalon monétaire plus largement réparti pour les échanges internationaux afin de remplacer les accords de Bretton Woods qui ont servi à maintenir l'hégémonie du dollar, après que Nixon a arbitrairement brisé ces accords en fermant le guichet de l'or en 1971.
Nous voyons donc apparaître un nouveau phénomène aujourd'hui, alors que les ventes d'or de long terme pour en contrôler le prix, une attitude qui a donné lieu au marché baissier post-Bretton Woods qui a duré plus de vingt ans, ont laissé place à des achats d'or nets et en des quantités toujours plus grandes par les banques centrales du monde. Un marché de l'or papier a été créé, au travers duquel l'Occident cherche à contrôler le prix et l'offre de l'or pour maintenir ses opérations financières tout en cherchant toujours plus agressivement à supplanter les gouvernances domestiques par des accords commerciaux draconiens – lorsqu'il échoue, il a recours à des soulèvements internes et, parfois, à des interventions militaires.
Il y a dans le même une prolifération des accords monétaire bilatéraux signés entre pays, ou entre petits groupes de pays, pour conduire leurs activités commerciales hors du système dollar. Certains construisent même leurs propres réseaux et infrastructures en réponse à l'usage agressif de sanctions et d'autres formes de pressions économiques.
Les Etats-Unis et le Royaume-Uni, comme la Russie et la Chine, ne sont pas immunisés contre les troubles domestiques. Une politique de dollar fort et le soutien apporté à des politiques offshore pour augmenter les profits des corporations détruisent l'une des plus grandes prouesses économiques populaires : la classe moyenne américaine.
De plus en plus inquiets, les gouvernements se jettent sur la moindre étincelle de soulèvement populaire, prennent pour cibles d'autres chefs de groupe, diabolisent des minorités et contrôlent leur peuple de toujours plus près. Ils arment les forces de police domestique et établissent des lois qui leur permettent de maintenir leur contrôle face à la misère et le mécontentement domestique.
Le tableau n'est pas beau à voir. Il est une vieille histoire de cupidité et de tromperie, d'empireq et de conquêtes, de sacrilèges désolants et de tromperie contre ceux qui se sont battus pour notre liberté et les droits civils à des fins égoïstes.
Un nouvel étalon or verra-t-il le jour, comme le suggère l'article A New Gold Standard in the Making ? Je n'en ai aucune idée, mais je ne le pense pas.
Si vous avez suivi mon opinion, que j'ai adoptée bien avant la création de mon blog en 2000, je suis d'avis que nous verrons un jour établie une nouvelle unité de devise internationale, similaire mais pas identique au SDR, et composée de bien plus de devises et de marchandises, afin qu'un seul groupe ne puisse pas en prendre le contrôle à ses propres fins.
La stagflation n'est pas un phénomène naturel. Elle se présente lorsqu'une politique d'intervention ou qu'une erreur politique par excellence se produit. Avant que l'OPEP ne soit capable de créer une stagflation au travers de son utilisation du pétrole dans le cadre d'embargos dans les années 1970, grâce aux conditions favorables créées par la pourriture économique introduite par plusieurs années de conflits discrétionnaires et agressifs en Asie du sud-est et de la dette qui en a découlé, une majorité d'économistes la pensaient impossible, et ne la percevaient pas comme un évènement naturel.
Je suis d'avis qu'une réforme domestique devra avoir lieu, et qu'elle est nécessaire parce qu'aucun nouvel étalon monétaire ne pourra remettre sur pieds un système qui a échoué de l'intérieur par la faute de la corruption et de l'injustice systémique.
Les plus anciens systèmes, même lorsqu'ils ont recours aux abus les plus évidents dans leur phase de déclin, peuvent décliner pendant très longtemps, sembler imbattables, avant de finalement s'effondrer sur eux-mêmes. C'est ce qui est arrivé à l'Union soviétique, et c'est peut-être ce qui arrivera au cartel anglo-américain et à ses nations satellites comme l'Allemagne et le Japon.
Il est encore possible que la Russie et la Chine se mettent d'accord avec les anglo-américains et établissent un gouvernement mondial tripartite, avec leurs propres sphères de contrôle et d'intérêts. C'est ainsi que George Orwell voyait les choses dans 1984. J'ai surveillé ce possible scénario au travers de mes propres recherches sur la croissance des marchés internationaux des capitaux depuis 1990.
De plus en plus de gens en parlent, alors j'aimerais me prononcer une fois pour toutes sur la question. Je suis conscient de la signification potentiellement profonde de ces développements d'un point de vue eschatologique. Mais souvenez-vous que même le grand apôtre, celui qui a « atteint le troisième ciel », s'est trompé dans ses estimations et pensé qu'il s'agissait d'un phénomène de son temps. C'est une erreur de vanité que d'aller si loin sur des sujets si difficiles et obscurs, à la poursuite d'émotions qui ne servent qu'à nous distraire de notre apport à l'œuvre du jour, et de la tâche pratique qu'est la recherche de sainteté et de salut en ce monde.
La manière dont nous réagiront individuellement sera critique pour notre survie en tant qu'êtres spirituels, puisque nous ferons tous face individuellement à notre propre fin. C'est quelque chose dont nous pouvons être sûrs. On nous dit que beaucoup baisseront les bras, désespèreront du triomphe de la méchanceté, et rechercheront le pouvoir et les richesses au-delà de toute raison ou grâce.
Les temps sont au changement. Il pourrait s'agir d'un nouvel arrangement qui nous apportera les bienfaits d'une réforme, de la transparence et de la justice au travers d'une évolution pacifique. Mais la situation pourrait être plus difficile. Tout ce qui ne pourra plus être soutenu ne durera pas.
Tout cela prendre fin. Peut-être pas très bien. Dans un sens, notre avenir est entre nos mains, à moins que nous ne nous contentions de ne rien faire. « La seule chose qui soit nécessaire au triomphe du mal est la passivité des hommes bons ». Que diable devriez-vous faire ? Commencez par vous-même, rejetez le mal qui est en vous. Agissez selon les deux grands commandements qui ont été implantés en votre cœur.
Vous avez été appelé. A vous de choisir quoi répondre.
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Source: "La guerre des monnaies en images" (Z Mar 04, 2015 02:24 pm) économie, général, brics, cartel bancaire, des monnaies, en images !, internationales, La Guerre, monétaires, Organisations

La production d'argent métal au Mexique (1er producteur d'argent au monde) chute en 2014 .

Mexique Argent 2013 vs production 2014
Alors que l’argent est clairement sur une tendance baissière, et que Les géants miniers réduisent leurs dépenses pour protéger les dividendes , les mines d’argent primaires sont touchées par les bas prix, les teneurs en argent (ores grades) chutent (ce qui est compensé par une dépense énergetique accrue) , et l’argent est sur le point d’atteindre un pic de production . Nous arrivons à la fin d’une époque .
Le Mexique est le plus grand producteur d’argent au monde. Les deux seuls pays qui se rapprochent  du numéro un du classement, le Mexique, sont le Pérou et la Chine.Cependant, ces pays traînent de plus de 50 millions d’onces sur le Mexique .
Selon l’ INEGI , le Mexique a produit un record de 186.000.000 onces (Moz) d’argent en 2013, mais cette proportion a chuté à 184 Moz en 2014.   D’autre part, la production d’argent du Pérou a augmenté de 118 Moz en 2013 à 121 en 2014. Si nous combinons le total de ces deux grands producteurs en Moz, la production totale n’a que légèrement augmenté, passant de 304 Moz en 2013 à 305,6 millions d’onces en 2014.
Mexique Argent 2013 vs production 2014
Alors que certaines régions du Mexique, comme le Zacatecas historique, ont connu une augmentation de la production d’argent, la région de Sonora a subi de fortes baisses.
Selon les dernières statistiques de l’INEGI sur de l’industrie métallurgique de l’exploitation minière du Mexique, la région de Zacatecas a vu une augmentation de 15,5% (33 tonnes) de sa production d’argent en Décembre, alors que la région de Sonora a subi une diminution de 64% (56 tonnes).
INEGI décembre 2014 Tableau
Pour trouver la production d’argent dans le tableau ci-dessous , voyez à PLATA, qui est de l’argent en espagnol. Comme vous pouvez le voir, la production d’argent a augmenté dans la région de Zacatecas, mais a diminué dans l’État de Sonora. Deux des plus grandes mines d’argent mexicaines sont situés dans la région de Zacatecas.
Ces deux mines sont la mine détenue par Fresnillo Fresnillo LLC, et la mine de Penasquito géré par Goldcorp. La mine Fresnillo est connue pour être l’une des plus grandes mines d’argent primaire dans le monde. Cependant, les teneurs en minerai ont diminué considérablement au cours des dernières années, résultant dans une  production beaucoup plus faible a Fresnillo.
NOTE:   La société, Fresnillo LLC possède plusieurs mines d’or et d’argent. Leur top mine d’argent primaire est Fresnillo et la seconde est Saucito.
En 2014, Penasquito la mine d’or de Goldcorp, a produit 25,8 Moz d’argent comme sous-produit, tandis que la production de Fresnillo est tombé à 20,1 Moz.   Ainsi, le plus grand producteur d’argent du Mexique est maintenant une mine d’or qui a produit un peu plus de un demi-million d’onces d’or en 2014 .
Ce ne était pas le cas il y a quelques années. Voici la production d’argent de la mine de Fresnillo depuis 2010:
Fresnillo production de la mine d’argent 
2010 = 35,9 Moz
2011 = 30,3 Moz
2012 = 26,4 Moz
2013 = 22,8 Moz
2014 à 20,1 Moz
La nouvelle mine Escobal de Tahoe Resources au Guatemala (première production en année pleine) a produit 20,3 Moz en 2014, et dépasse désormais les 20,1 Moz de Fresnillo , le plus grand producteur primaire d’argent des deux.
Je crois que la production d’argent du Mexique va continuer à augmenter dans les prochaines années alors que Fresnillo LLC prévoit d’augmenter sa production de 40 Moz en 2014 à 65 Moz d’ici 2018. Cependant, avec le bas prix actuel de l’argent, cette prévision va prendre quelques années de plus  .
Peu importe, le pic et le déclin de la production Globale d’Argent auront lieu peu de temps après que le monde connaîtra un pic de la production mondiale de pétrole.   C’ est difficile de dire quand cela se produira, mais nous pouvons certainement garantir que ça va d’abord avoir lieu dans l’industrie des mines de métaux de base … où la majorité de l’argent est produit.
C’est pourquoi je essaie d’éduquer les investisseurs des métaux précieux sur l’énergie. L’ENERGIE est la clé pour comprendre comment le monde va évoluer à l’avenir. Je crois que les actifs les plus sûrs à posséder dans un environnement de pic pétrolier seront l’or et l’argent
http://srsroccoreport.com/mexico-worlds-number-one-silver-producer-slips-in-2014/mexico-worlds-number-one-silver-producer-slips-in-2014/  – resistanceauthentique


Source: "La production d'argent métal au Mexique (1er producteur d'argent au monde) chute en 2014 ." (Z Mar 04, 2015 02:14 pm) général, or et argent métal, 1er producteur d'argent, argent physique, au Mexique, au monde, Chute, Cours De L'or, d'argent metal, en 2014, la production, metaux précieux